Le troisième album de DORN est presque passé inaperçu, ce qui est fort dommage car dans ce qu’il ce fait de dark symphonique, cet album est une petite merveille !
Ici il s’agit encore d’un homme-orchestre, qui manie subtilement guitares, basse, une voix bien profonde ‘dark/death’ (alternant également parfois avec une belle voix claire), accompagnés d’une multitude d’ambiances mélodiques, du piano et de larges passages de synthé, essayant de mélanger orchestrations diverses et symphonies…Seule la batterie a demandé un musicien de session…petite faiblesse de la part du maître Liebig ?
Assez proche de la démarche d’un Love Lies Bleeding (en moins black), les morceaux s’enchaînent et se laissent déguster sans retenue et sans aucune lassitude…
Espérons que les amateurs de ce style iront lorgner du côté de l’Allemagne, pour connaître et faire connaître ce talentueux musicien !