Chers droogies, laissez moi vous conter l’histoire du groupe mythique THE ADICTS, crée tout juste après 1975 et leur ancien nom de groupe, les Afterbirth & The Pinz. Clockwork orange et Kubrik sont passés par là et dès lors l’image du groupe s’en est largement inspiré pour nous sortir par la suite – seulement – 11 albums. Dont cet album « Songs of praise », sorti en 1981, et qu’ils ré enregistrent aujourd’hui pour fêter ce 25eme anniversaire : happy birthday to you the droogies ! Alors pour célébrer cela, je vous propose de vous rendre à la page « glossaire » d’ Anthony Burgess afin de pouvoir suivre le cours de la chronique !

25ans après et revoilà les « viokchos » du punk rock qui nous reviennent (line up d’origine, s’il vous plait) dans le ciboulo grâce à Monkey et ses maltchicks. Excellente idée de la part de la discotic allemande People like you de nous rafraichir le gorlot avec ce groupe et ses titres qui n’ont pas pris une ride, et qui ont dû inspirer bon nombre de groupes rock, punk voire même metal. Bien entendu, pour qu’un shaïka ait le succès et la reconnaissance qu’il mérite, il faut que musicalement – entre autres – cela tienne la route. Vous trouverez donc pour ceux qui ne connaissent pas encore, des hymnes toutes les secondes, des mélodies à tous les coins de riffs punk. Pour ma part, s’il y a bien deux groupes qui sont ressortis du lot dans les années 80, c’était bien THE ADICTS et THE DAMNED. Des légendes vous dis-je. Et cet album est indispensable pour tout molodoï et amateur de punk, certes, mais aussi pour tout amateur de mélodies et de refrains entêtants, sous une production tzarrible puisque le cachet « old school » a été respecté. Parfois plus lent « Hurt » ou plus speed « just like me », nous prenons plaisir mes drougies à un grand panachage de tempos et même de styles, bien que le punk soit toujours la ligne conductrice. Comment ne pas résister au choum choum de Big ben et du titre « viva la revolution », histoire d’aller oubivater quelques bourgeois pouglés dans leur domie, mes brattis ! Rien à redire quand à ces compos toutes réussies et toutes légendaires désormais, c’est vraiment dobby…

Il ne vous reste plus qu’à koupter cet album « de la seconde chance » zoum zoum, de chausser vos sabog Doc marteens, votre tenue blanche, votre chapeau noir, de glisser un trait de maquillage noir, et de pousser le volume bien gromky en allant yékater en tirepouss, si cela n’est pas de la violence gratuite, je n’y comprends plus rien, bande de malinfrat !