CHRONIQUES D'ALBUMS




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TROPHALLAXY
Dawnfall [ 2009 ]
Pavillon 666 - metal rock webzine CD - Durée : 57.10 - Style : Power metal symphonique
Informations :
Interview :
Contact label :
Contact groupe : Http://www.trophallaxy.ch
 


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ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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Chronique : 16 février 2010 - Chroniqueur : Aelbereth
 

Trophallaxy est une formation Suisse de métal symphonique ayant vu le jour en 2007. Elle possède la particularité de s'être dotée d'une vocaliste jouant également du violoncelle. Très influencée par la scène finlandaise de power metal symphonique (Sonata Arctica, Nightwish...), Trophallaxy réalisa son premier enregistrement en juillet 2008, un ep de quatre titres les révélant alors d'ores et déjà comme une formation très prometteuse.
« Dawnfall » est ainsi le premier album de Trophallaxy, sorti en décembre 2009. La finition en elle même est très professionnelle, de la couverture au choix du studio d'enregistrement ( Sterling Sound studio), ce qui ne fait que témoigner la volonté de cette jeune formation, qui ne lésine pas sur les moyens pour nous prouver ce dont elle est capable. Les influences de Trophallaxy transparaissent énormément dans leurs compositions, néanmoins, la formation saura en tirer profit pour créer des ambiances qui leurs sont propres, à défaut d'utiliser la composition en tant que papier calque. Cette couleur particulière apparaît très clairement dès la première piste « Beautiful autumn day », violoncelle et basse se complèteront alors d'une assez belle manière. L'ensemble des soli, réalisés de façon complémentaires par les claviers et la guitare font preuve d'une mélodicité certaine, on pensera à Sonata Arctica ou à Children of Bodom. Aériens et virtuoses,les soli contrastent de façon efficace d'avec la voix grave de la chanteuse, qui peinera néanmoins assez dans les aigus. Du power au symphonique en passant par des accents plus rock n roll, Trophallaxy parvient à se faire une place dans l'estime de l'auditeur, à coup de mélodies bien placées et de puissants riffs.

On pourrait évidemment reprocher des accents quelque part trop Nightwishiens (le final de « The Haven » ne rappelle que trop « Come cover me ») mais ces derniers n'auront que peu d'importance, éclipsés qu'ils seront par la qualité de l'ensemble. Reste donc à Trophallaxy à se forger une esthétique et une personnalité qui lui est propre, car le potentiel est grand!








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