CHRONIQUES D'ALBUMS




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ANACHRONAEON
The Futile Quest for Immortality [ 2010 ]
Pavillon 666 - metal rock webzine CD - Durée : 44.00 - Style : Death Metal
Informations :
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Contact label : http://www.stygiancrypt.com
Contact groupe : http://www.anachronaeon.com http://www.myspace.com/anachronaeon
 


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ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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Chronique : 28 mars 2010 - Chroniqueur : Matai
 

Les suédois d’Anachronaeon nous reviennent en cette année avec qu’une idée en tête : partir à la conquête de l’immortalité. Ce thème prédominant tout au long de l’album est mis en musique par une musique death assez rentre dedans mais assez mélodique dans l’ensemble, nous offrant un ensemble assez homogène.

La production est bonne (le groupe a tout de même signé chez Stygian Crypt Productions), la technique des musiciens n’est pas du tout à reprocher, au contraire, ces gars là sont bons : une guitare variant les jeux avec plaisir et aisance, une batterie alternant les blasts et la double pédale avec monstruosité, une basse arrivant à faire ressortir ses lignes à travers une certaine brutalité, un chant grave et caverneux et surtout bien modulé, chant qui parfois se veut être alterné avec un chant clair pas très juste et assez monotone au niveau des refrains (« Ages Ago », « The Message »).
Par contre il faut noter que les titres sont assez linéaires et ont tendance à se ressembler. Même si « The Futile Quest » part sur les chapeaux de roues avec une intro endiablée et que les rythmes restent en général assez énergiques, cela ne suffit pas à ce que notre âme s’arrête de divaguer en plein milieu de l’album. Ennuyant ? Tout de même pas, certains titres offrent une légère dose d’émotion qu’on aurait bien aimé retrouvé un peu plus souvent : le solo de guitare de « The Darkness in the Corner of my Eyes » restant bel et bien sympathique, et le titre « Wither » attirant notre attention par ce côté bourrin provoqué par une double pédale omniprésente, une rapidité des guitares, et des growls bien grognés du chanteur Patrick Carlsson…

L’album se clôt avec un titre possédant un nom j’admets peu original pour une fin (« End ») mais très efficace. Un subtile mélange de death et de black, appréhendé à la base par une intro douce et calme faite à la guitare, pour ensuite partir dans un couplet assez technique et…old school, au niveau des guitares. Mais le refrain se veut magnifique, remplie d’émotion par ce solo de guitare en fil conducteur, cette alternance et même superposition de vocaux, clairs/growlés, sur une ambiance triste, sombre et étouffante (de la tristesse coulent des larmes créant un océan dans lequel l’auditeur se noie…)…c’est de ça que parle ce titre...sans doute le meilleur de l’album…

Du death comme on en voit souvent, mais on sent qu’il y a un potentiel, d’autant plus que les musiciens ne sont que…deux… ! Malgré une certaine linéarité et une ballade instrumentale des plus niaises portant le nom de « Grief Was Never Far Away and I Invited Her to Stay », cet album reste agréable à écouter. Pour tout amateur de death sans prétention.








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