CHRONIQUES D'ALBUMS




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DEATH RIDERS
Through Centuries of Dust [ 2011 ]
Pavillon 666 - metal rock webzine CD - Durée : 53.00 - Style : Thrash – Power Metal
Informations :
Interview :
Contact label : http://www.myspace.com/lostsoundrecords
Contact groupe : http://www.myspace.com/deathridersband
 


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ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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Chronique : 05 mai 2011 - Chroniqueur : sarvgot
 

La scène Metal italienne se porte bien. Les multi-projets de Luca Turilli, Lacuna Coil, Dope Star Inc. et Raintime, dont le groupe Death Riders se rapproche avec ce mélange de Thrash et Power Metal, la patte mélodique italienne en plus.
La plupart du chant se fait en voix claires et, à quelques rares moments, une voix Death intervient. Valerio Gaoni fait d’ailleurs du bon boulot à son poste de chanteur. Plus adapté au mélodique qu’au Thrash, sa voix se rapproche de celle d’un David Fremberg d’Andromeda. Les parties chant sont bien exécutées et certains refrains font souvent mouche (« Season of Loss »).
Le Lead guitariste n’est pas en reste non plus (tout comme son homologue rythmique). Francesco Pellegrini exécute des soli enlevés et mélodiques (« The Eclipse »). Cependant, les guitares manquent de lourdeur lors de certains passages. On retiendra surtout « War Inheritance » pour cela : les guitares auraient dû être plus lourdes et incisives et ce, malgré qu’elles soient relativement massives au niveau du mixage, qui reste sans reproche. La production quant à elle aurait mérité plus de moyens.
Bizarrement, le clavier est un musicien session qui n’est pas considéré comme membre à part entière. Même si les parties claviers sont rares, elles n’en restent pas moins agréables. Le musicien suffit à fignoler une tendance progressive qui se dévoile légèrement tout au long de l’album.
Mais Death Riders a le temps de grandir et surtout a les moyens de le faire. Malgré une personnalité qui ne demande qu’à s’affirmer un peu plus au niveau des voix (les passages Death ne servent à rien) et au niveau des compositions (quelques samples à utiliser de façon plus cohérente), le combo italien affiche déjà de belles prétentions et de jolis atouts : cette tendance prog ne demande d’ailleurs qu’à éclore.








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