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MAXXWELL Tabula rasa [ 2014 ] |
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CD Album - Durée : 54:47 - Style : Hard rock us | |
Informations : | |
Interview : | |
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ORIGINALITE TECHNIQUE PRODUCTION EMOTION |
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Chronique : 21 novembre 2014 - Chroniqueur : riffraph | |
MAXXWELL (Suisse) Album : Tabula Rasa Sortie : 3 octobre 2014 Vocals : Gilbi Meléndez Lead guitars : Hef Häfliger Rhythm guitars : Cyril Montavon Bass : Kusi Durrer Drums : Oli Häller Titres : 1- PartyKings 2- Fuck it 3- Nothing changes my mind 4- Trails of hate 5- Cause i’m Lovin’it 6- Gone forever 7- Fallin’down 8- Man of steel 9- Never let you go 10- On your face 11- Backstabber 12- Run or hide Voici donc le troisième album des Helvétiques de Maxxwell, « Tabula Rasa ». Et cela commence plutôt bien avec les deux premiers titres, percutants avec leurs riffs fédérateurs « Partykings » et « Fuck It ». Si leurs deux premiers albums sonnaient plus rock, force est de constater que ce dernier est tourné encore un peu plus vers le bon vieux hard rock us des années 90. Le départ du précédent chanteur, Nobi Suppiger, on s’en doute, y est pour beaucoup dans cette nouvelle orientation. Certes il n’est jamais facile de se relancer dans ces conditions mais le nouveau vocaliste Gilbi Meléndez n’a pas à rougir de son prédécesseur. Sa voix médium, plus posée, apporte plus de nuances et de variations permettant ainsi au combo d’explorer une palette plus large dans leurs compositions. Alors oui, Maxxwell n’a pas complètement changé. On frise parfois le hard FM sur des morceaux comme « Nothing changes my mind », « Never let you go » ou « Gone forever » avec leurs mélodies bien travaillées et calibrées qui, je dois bien l’avouer, tapent dans le mille à chaque fois. Malgré cela on retrouve des compositions bien plus pêchues comme « On your face », « fallin’down » avec un chant version « rap’n’roll » à la « Rage against the machine » dans les couplets. Vous pourrez aussi apprécier « Man of steel », un drôle d’hommage à Superman et « Backstabber » avec un son de basse bien lourd. Bref, vous l’aurez compris, le tout est excellemment produit. Le mixage est irréprochable et la chronologie des titres bien pensée. On alterne entre titres pêchus et d’autres plus calmes tout comme on passe de l’envie à la mélancolie. Les riffs, soli, refrains et mélodies sont faits pour être facilement retenus et repris en chœur, bref taillés pour les concerts. Evidemment (et je ne serai sûrement pas le seul à le dire) on ne peut s’empêcher de les comparer à « Gotthard » qui ont quand même déblayé le chemin pour eux et c’est tant mieux. Les plus difficiles d’entre nous dirons que tout cela a déjà été entendu…A ces derniers je répondrai, certes, mais bien que convenu, on ne peut qu’adhérer à l’efficacité et la précision suisse de cette galette dont je vous conseille l’écoute. Vous pourriez être surpris… | |
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