CHRONIQUES DE CONCERTS

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MARILYN MANSON
Avec : MARILYN MANSON
Date du concert : 27-11-2017  
Lieu : AccorHotels Arena - Paris [ 75 ]  
Affluence :  
Contact organisateur :  
Interview :  
   
Date de la chronique : 13 décembre 2017 - Chroniqueur : Maulny77 - Photographe : Phil (Maulny77) https://www.facebook.com/phil.metallik/?ref=hl  


Le maitre de cérémonie ayant du annuler sa venue en terres parisiennes le 16 novembre 2015. Marilyn Manson prend position au sein de l'Accorhotels Arena pour une soirée animée et surprenante.

Aussi Marilyn Manson confirme qu'il est le maître de la controverse, en choisissant personnellement la première partie de ses spectacles. Pour cette tournée, il a fait son choix sur Dinos Chapman, artiste multi-domaines anglais. Seul, scotché à son claviers le plasticien britanniques propose durant 30 minutes, paraissant un seul et même morceau, un set de électro dark. Autant vous dire, que la musique de chauffe n'émeut pas le public venu en nombre. Dinos Chapman n'a pas d'état d'âme et maintient son show malgré les sifflets.

La préparation de scène durant autant qu'un set de Chapman, le public se met seul en condition pour accueillir le boss du shock rock. Malgré sa jambe cassée, Marilyn Manson
joue de cet handicap momentané tout au long du spectacle. Il utilise tour à tour des fauteuils roulants automatiques ou des mises en scène le mettant dans une chaise roulante poussée par des membres du crew grimés en infirmiers, le clouant sur un lit entouré de chirurgiens observant ses convulsions... Se déplaçant sur une jambe de bois, s'accrochant au pied de micro. Le chef d'orchestre s'accommode de son accident et l'utilise à merveille dans sa prestation scénique ressemblant par instant à Alice Cooper.

Afin de tenir le public en haleine et surtout lui permettant d'adapter sa tenue vestimentaire et ses accoutrements, Marilyn Manson s'accorde des moments de break, dans le noir, entre les morceaux. La setlist n'est pas en reste et confirme cette communion entre l'assistance et la formation. Celle-ci parfaitement adaptée permet à chacun de reprendre les paroles et suivre les vocaux de Manson.

La controverse est prolongée jusqu'au bout du set puisqu'à la suite du deuxième rappel, venant faire raisonner "Coma White", les enceintes laissent raisonner un dernier titre mais contrairement à toutes attentes, la salle se pare des ses lumières et met en action les roadies. Laissant ses fans sans dire un mot, sans dire un au revoir Manson est parti frustrant certains spectateurs. Gardons en mémoire que le révérent était bien présent et à exécuté un set à la hauteur de nos attentes. Il reviendra nous voir cet été lors des festivals du mois de juin, il serait dommage de passer à coté.











 


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