CHRONIQUES D'ALBUMS




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NOTHING MORE
The stories we tell ourselves [ 2017 ]
Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album - Durée : 55.33 - Style : Metal alternatif
Informations :
Interview : pavillon 666
Contact label : https://www.elevensevenmusic.com/
Contact groupe : http://nothingmore.net/ https://www.youtube.com/user/nothingmoremusic
 


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ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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Chronique : 20 novembre 2017 - Chroniqueur : furia
 

NOTHING MORE
C’est avec plaisir que je découvre le nouvel album de « NOTHING MORE » que j’ai connu grâce à leur premier album qui était sorti en 2013, les Texans sortent en 2017 leur nouveau CD qui s’intitule « THE STORIES WE TELL OURSELVES ». Groupe fondé en 2003 avec Jonny Hawkins au chant, Mark Vollelunga à la guitare, Daniel Oliver le bassiste et Ben Anderson au niveau de la batterie.

Alors que nous réserve cette nouvelle galette? En regardant le nombre de titres qui la compose, au total dix-huit, j’ai eu franchement peur, car trop de pistes signifient en général une certaine rengaine qui s’installe. Donc 18 pistes, mais entrecoupées de six interludes qui fait que l’on se retrouve avec douze titres. Le groupe propose un metal alternatif, mais pas que, il flirte avec la pop, le metal, le nu-metal et le punk, beaucoup de styles différents pour toucher un public aussi large que possible. Tous ces styles se retrouvent sur différentes chansons, « DON’T STOP » nous envoie du côté du groupe français Shaka Ponk avec le coté rock énervé. La capacité de Jonny Hawkins à diversifier son chant est très impressionnant, on pourra comparer son timbre à celui de Jared Leto sur « FUNNY LITTLE CREATURES » où encore prendre le scream de Chester Bennington avec le titre « THE GREAT DIVORCE ». Les guitares tantôt lourdes qui refléteront le côté metal, tantôt léger pour le côté pop, rapide et acéré dans les aigus pour les riffs punk, nous feront passer un bon moment. De vouloir toucher un public de tout horizon fait que « NOTHING MORE » se perd un peu, entre émotions, colère, riffs lourds ou clairs, on finit par ne plus savoir sur quel registre le groupe se trouve.

Au niveau de la jaquette, on est sur un visuel très soft dont je ne comprends pas vraiment le message, on y voit un homme se faire masquer les yeux, qui pour moi ne reflète pas vraiment le message du titre de l’album.  

Au final, des cinquante-cinq minutes que composent cet album, il s’avère que je suis assez déçu de la nouvelle œuvre des Américains, qui maîtrisent beaucoup de styles sans vraiment s"aventurer plus loin, ne prenant pas réellement de prise de risque au niveau des compositions qui sont malheureusement très linéaires tant au niveau des rythmiques, qu’au niveau de la diversité des morceaux. 








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