CHRONIQUES ALBUMS

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IMPERIA
Flames of eternity [ 2019 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 58.58
Style : Metal symphonique
Lien du label : http://www.massacre-records.com
Lien du groupe : http://imperiaband.com
Lien musical : http://
  Lien interview : pavillon 666
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 25 avril 2019 , réalisée par IvanJack25
   
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas ce groupe, Imperia nous vient de Scandinavie, de Finlande pour être plus précis et coule tranquille son petit bonhomme de chemin à travers les années depuis 2004 avec un metal symphonique, voire gothique de très bonne facture. Flames of Eternity est donc leur cinquième album, encore un peu plus évolué que les précédents.

Je n’ai pas suivi la carrière du groupe à la lettre mais j’avais été charmé par le 2ème opus « Queen of light », qui différait de par le style et la voix de la chanteuse des autres groupes de ce style.

Flames of Eternity ne déçoit pas dans ce sens. Toujours cette voix atypique registre alto, grave et souple d’Helena, un gros son («The scarred soul», «Fear is an Illusion») sans pour autant saturé d’une grosse machinerie symphonique ni de trop de chœurs surpeuplés comme c’est trop souvent le cas. «Unspoken words» est le single type, efficace et refrain facile à retenir, quelques power-ballads intéressantes empreintes d’émotions enjolivent nos sens dont «Book of love» où la voix resplendit à nouveau et «Invisible tears» avec cette belle mélodie de piano au début, ce beau chant et ces arrangements orchestraux très fins, qui ne sont pas sans rappeler les premiers travaux de Xandria, à l’instar du maléfique «Blinded».

« Beauty Within » est une ballade aux couleurs médiévales rafraîchissantes, qui diffère un peu du reste des morceaux présentés ici, et où la voix d’Helena abandonne totalement son caractère lyrique, pour espacer les ambiances.

« The Ocean » nous évoque un voyage épique oriental, doté d›un petit côté Kamelot période Roy Khan, et l’album se finit sur deux ballades piano voix avec beaucoup d’émotion, « A crying Heart » et « Mother » avec ses textes prenants (peut-être un hommage à la mère d’Helena trop tôt disparue ?).

Flames of Eternity est un bel album de metal symphonique sans démonstrations pompeuses ni grandiloquence exacerbée. La musique d’Imperia mériterait d’ailleurs une plus large diffusion dans le paysage musical actuel.




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