CHRONIQUES D'ALBUMS




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DIAMOND HEAD
The coffin train [ 2019 ]
Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album - Durée : 45.00 - Style : Heavy-metal
Informations :
Interview : pavillon 666
Contact label : http://sl-music.net/en/?fbclid=IwAR1hW513e-3hZNRW4TamLJVYnm1s3YV-sU0crfwMUJ7i8NGiBoSMFCgQ3h0
Contact groupe : https://www.facebook.com/DiamondHeadOfficial/ http://
 


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ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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Chronique : 16 août 2019 - Chroniqueur : le.gougnafier
 

Le groupe anglais, formé en 1976 (eh oui, déjà) a brillé, il y a quelques décennies donc, avec des brûlots tels que « Am I Evil ? », « Helpless », « It’s Electric », et j’en passe. La bande a même été une influence majeure de groupes tels que Metallica et Megadeth, excusez du peu…
La Tête de Diamant aurait pu figurer au panthéon du Metal mais n’a, pour diverses raisons, pu s’extraire de la seconde division. Après quelques années délicates, le groupe nous a gratifié en 2016 d’un excellent album éponyme, marquant ainsi son retour fracassant dans le microcosme métallique.
La bande à Tatler, qui a le vent en poupe (on ne s’en plaindra pas), enfonce le clou cette année avec The Coffin Train. L’arrivée de Rasmus Bon Andersen au micro a redonné un sacré coup de jeune au propos du groupe. Car comment peut-on rester de marbre devant son excellente prestation tout au long de cette galette ? Il suffit de l’écouter sur le speedissime « Belly of the Beast » (très bonne entrée en patière et future boucherie en concert). Tout y est : hargne, maîtrise et justesse ; le vocaliste ne s’économise pas.
Mais ce serait injuste de mettre ses comparses de côté, alors qu’eux ici brillent tout au long de l’album. La section rythmique martèle sévère (quelles superbes lignes de basse sur Shades of Black et Serrated Love) et les parties de guitare sont de toute beauté (l’intro de The Messenger fout les poils) ; bravo à Brian Tatler pour ces soli lyriques qui font mouche à chaque fois !
Diamond Head, tout le long de cet album, varie intelligemment son discours, allant du tempo pied au plancher (dès la première piste) au mid tempo massif (The Coffin Train, The Phoenix) tout en tâtant des parties plus posées (l’intro de The Sleeper, qui pour moi est le talon d’Achille de cet album en raison de son refrain trop convenu). Ceci est très bien vu et évite tout risque de lassitude de l’auditeur. Mention spéciale à Until We Burn qui clôt la prestation de très belle manière avec un refrain mâtiné d’émotion.








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