Ce groupe est un bel exemple de ce qui peut se faire de mieux comme mélange de styles en metal actuel. Deuxième album pour ces Australiens, Mask of all misery ravira tous les esprits qui adulent le metal des années 2000 et 2010...

Vous aimez Devin Townsend ? Vous aurez la densité sonore du maître.

Vous adorez la nouvelle vague prog genre Karnivool ou Fair to Midland ? Vous aurez leurs riffs alambiqués et mélodieux.

Vous êtes nostalgiques de Pain ? Vous aurez le côté electro-metal du groupe de Peter Tatgren (avec une analogie vocale en plus sur certains morceaux).

Vous aimez les ballades ? Vous serez fans de la power-ballad «Doves».

Vous headbangez sans fin sur Ill Nino ? «Tears that burn the sun» est faite pour vous, même intensité, même niveau de feeling et d’agressivité.

A écouter en priorité, ces coups de maîtres avec leurs refrains efficaces et mélodieux, saupoudrés de riffs assassins qui pètent la tronche à chaque mouvement de médiator : «Bury the bodies», «City of ghosts» et «In the Final hour».

A écouter d’urgence, si Meshiaak ne font pas partie de l’avenir du metal international très bientôt, alors je ne comprends décidément plus rien à la musique...