Etes-vous "connectés" metal-indus? Oui, alors goutez-voir à "Wire", second album des Bisontins de HORSKH. D'ailleurs l'artwork de couverture du CD, œuvre de Yoann Amnesy vous dira tout (ou presque) sur le contenu.

A l'annonce de ce nouvel opus electro-metal à paraitre le 22 janvier 2021 en autoproduction je me suis déclaré partant pour faire une petite chronique car ce trio frenchie m'avait interpellé grave en live lors de leur passage au Plane-r-Fest 2019 en région lyonnaise.
Si le premier titre démarre en douceur (enfin tout est relatif), la machine s'emballe ensuite pour se révéler sauvage et agressive dans une mouvance me rappelant les vétérans frenchies de Treponem Pal.
Si vous êtes fans de Combichrist ou encore de Marilyn Manson, Carpenter Brut, Ministry et Punish Yourself vous allez vous retrouver vite "emballés" par les 12 nouveau titres du trio de Besançon.
Si vous êtes "branchés" aux câbles de la musique indus, Horskh sera votre album de chevet prochainement car l'énergie qui se dégage de "ire" vous emmènera sur un "dance-floor" métallique en diable sous perfusions insidieuses et malsaines dans votre "core".
Bastien Hennaut (chant, machines, guitare) accompagné par Sylvain Abriel (batterie live) et par Jordan Daverio (machines, guitares, backing vocal live) manient la transe, les beat electro, les guitares saturées comme jamais, progression donc avec ce second "full-length" qui nous éclabousse les neurones avec un son brut de décoffrage et l'on aime ça sans problème !

Si vous connaissiez déjà les envois d'Horskh vous allez déguster dans tous les sens du terme, et si vous ne connaissez pas encore, alors introduisez "Wire" dans votre "mange-disc" et vous m'en direz des nouvelles, trio méritant quoi !