CHRONIQUES D'ALBUMS




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SLOWSHINE
Living light [ 2021 ]
Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album - Durée : 45.00 - Style : Rock psychédélique
Informations :
Interview :
Contact label : http://thelastingdoserecords.bandcamp.com
Contact groupe : http://www.facebook.com/slowshineband http://slowshineband.bandcamp.com
 


 Pavillon 666 - metal rock webzine
ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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Chronique : 06 octobre 2021 - Chroniqueur : IvanJack25
 

       Premier album des allemands de Slowshine, Living light semble être un ovni de simplicité et de lenteur, à l’aube des grosses productions, des chansons saturées de couches successives de sons et d’instruments, de compression à outrance et de perte de dynamisme et d’originalité au final.
 
                Pur produit du confinement de 2020, le trio navigue d’une manière extrêmement large entre le post-rock voire le stoner actuel et le plus vintage du rock psychédélique des années 70. Ca sent en même temps la sueur de trois jours d’une chambre d’ado trop peu aérée et la naphtaline des placards trop souvent fermés de leurs arrières grands-parents.
 
                Tout l’album est un peu toujours pareil, il est même gonflé de composer des chansons avec trois riffs seulement que l’on garde pendant plus d’une minute à chaque fois… La production vintage est aérienne et éthérique, les guitares sont spatiales et la voix, dont je viens de comprendre qu’elle venait d’une chanteuse, est noyée au loin dans un méandre d’effets de réverbération et de delay, comme on n’en fait plus. Les compositions sont lentes, langoureuses dans un curieux mélange minimaliste dans l’atmosphère générale.
 
                Ça fonctionne… jusqu’à ce que l’oreille et l’attention s’ennuient à mourir, espérant à chaque fin de titre que le suivant sera différent… en vain. Le trio trouve même le moyen de terminer l’album avec une ballade, « A quiet place », histoire de totalement nous envoyer dans les bras de Morphée sans scrupule.
 
                Pour faire une comparaison qui parlerait aux fans de ce style, on a l’impression d’une fusion étrange entre le space-rock de Bowie époque Space oddity et Hawkwind avec la nonchalance d’un Type O Negative et la torpeur des deux derniers Klone. Vous voyez l’idée… Mais tout cela en moins bien que les références citées bien sûr… A écouter pour faire passer le temps, mais le temps ne passera hélas pas aussi vite que vous le désirerez.








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