CHRONIQUES D'ALBUMS




pavillon 666 webzine metal rock TOUTES LES CHRONIQUES pavillon 666 webzine metal rock ÊTRE CHRONIQUÉ pavillon 666 webzine metal rock ÊTRE CHRONIQUEUR


DROPDEAD CHAOS
Underneath The Sound [ 2023 ]
Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album - Durée : 37.41 - Style : Metal Moderne
Informations :
Interview :
Contact label : https://www.label-athome.com/
Contact groupe : https://www.facebook.com/dropdeadchaos
 


 Pavillon 666 - metal rock webzine
ORIGINALITE
Pavillon 666 - metal rock webzine

TECHNIQUE
Pavillon 666 - metal rock webzine

PRODUCTION
Pavillon 666 - metal rock webzine

EMOTION
Pavillon 666 - metal rock webzine
 
Chronique : 27 avril 2023 - Chroniqueur : inglewood
 

Habituellement, quand la hype autour d’un groupe est très forte, c’est que soit c’est excellent ou soit que c’est très bien vendu.
Dans le cas de Dropdead Chaos, je pense que c’est quand même très bien vendu, je m’explique.
Le groupe se compose de Boris de Betraying the Martyrs à la batterie, de Jacou de Black Bomb A à la basse, de Baptiste de Smash Hit Combo et de Nils de Sirenia aux guitares, de Déha de Maladie et de Renato de Trepalium et LTB derrière les micros.
Le premier single « Black Thoughts » (dont tous les bénéfices ont été reversés à la Fondation de France) est sorti en avril 2020.
Trois ans plus tard, c’est un album, « Underneath The Sound » qui nous est proposé.

Qu’en est-il ?
Un album de kids des années 90 biberonnés à la « Family Values », Korn, Pantera, Slipknot, Linkin Park… Visiblement, toutes ces pointures du metal français se sont fait plaisir.

Tout est parfaitement exécuté et calibré pour ravir les oreilles que ce soit sur CD ou en live. D’ailleurs ce doit être extrêmement efficace, la Altar doit encore s’en souvenir.
Du coup, il est un peu difficile d’identifier une personnalité, chaque musicien fait vraiment le job, mais l’album est trop convenu, propre, manque de folie pour adhérer plus qu’un kiff revival.
Autre point qui m’a un peu gêné, c’est le manque d’air.

C’est trop rempli, ça chante tout le temps et quand ça ne chante pas, il y a un solo démonstratif pas toujours utile. J’aurai tellement adoré plus d’expérimentation, d’atmosphères et de virages Black (j’ai tellement de respect pour Déhà.), « One Last Encore » aurait mérité un ou deux petits frères…

En conclusion, et même si ce n’est peut-être pas évident à la lecture de cette chronique, j’ai bien aimé cet album, sa puissance, sa prod, mais je trouve que chacun est resté dans sa zone de confort et que pour la suite, il faudra faire un pas l’un vers l’autre pour mieux faire monter la mayonnaise.








AUTRES CHRONIQUES DU GROUPE


 
pavillon 666 webzine metal rock TOUTES LES CHRONIQUES pavillon 666 webzine metal rock ÊTRE CHRONIQUÉ pavillon 666 webzine metal rock ÊTRE CHRONIQUEUR


Aller en haut