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CREMATORY Destination [ 2025 ] |
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CD AlbumDurée : 53.39 Style : Metal dark/death |
Lien du label : ![]() Lien du groupe : ![]() | |||
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ORIGINALITE![]() |
TECHNIQUE![]() |
PRODUCTION![]() |
EMOTION![]() |
| Chronique : 08 avril 2025 , réalisée par AVALON | ||||
Formés en 1991, les teutons Crematory ont avancé leurs pions au fil des années, avec des albums plus ou moins inégaux mais toujours sous le même fil conducteur, à savoir un metal mélodique entre death et gothique. ROAR! Rock of Angels Records est désormais leur tout nouveau label. Après Napalm Rec, c’est dire que ROAR est actuellement le label grec qui monte petit à petit, avec des artistes de talent (Crematory, Iced Earth, et j’en passe). Crematory revient donc avec « Destination », leur 17ᵉ album (sans compter les lives et autres) et une pochette sympa (bien que classique). Des titres en anglais, mais également deux dans leur langue natale, dont le « Welt aus Glas », qui se rapproche pour le coup de Rammstein, non pas que le chant ressemble, mais les gros coups de riffs assez martiaux ont un petit air. Mais débutons par leur premier titre avec un « Destination », qui met de suite dans le bain avec ce metal « dark » dont ils ont le secret : un chant plutôt death, une ambiance assez gothique dans le sens où c’est assez mélancolique, mélodieux et de petites nappes de synthé ici ou là. Mais rassurez-vous, c’est tout de même très metal avec de gros riffs et un refrain accrocheur. Le second titre « The Future is a Lonely Place » m’a parfois fait penser à du Tiamat, peut-être grâce à cette belle basse mise en avant et ce synthé très présent. Très joli titre mélodique. Et en plein milieu, un titre hommage à notre grand regretté Peter Steele et le magnifique titre « My Girlfriend's Girlfriend ». Ici, on apporte une légère plus-value, avec un chant plus death… et un effet sur la voix à un certain moment. Après, même si c’est bien exécuté, la copie ne vaudra jamais l’original... Dans ce côté pseudo-gothique, on y est en plein avec le titre « My Own Private God » et cette intro d’église, qui accompagnera tout le titre. Sur le titre « Days Without Sun », nous avons un pied dans le côté metal électronique, que le groupe a déjà testé, et qui varie un peu avec les autres titres. Bon, je dois dire qu’au final, si l’ensemble est bon et dans la continuité de ce qu’ils ont sorti, cela reste assez lassant. Pas assez de variations, surtout côté chant. Ce côté death assez linéaire est parfois lassant, bien que sur certains titres, un chant clair l’accompagne. Mais voilà, l’intérêt global reste assez limité pour avoir à faire à un chef-d'œuvre. Comme si le groupe avait atteint un plafond de verre. Ils font ce qu’ils savent faire parfaitement, mais j’attendais encore plus d’audace et d’émotions pour ma part. Pour des raisons de confidentialité YouTube a besoin de votre autorisation pour charger. Pour plus de détails, veuillez consulter nos Politique de confidentialité. |
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