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SYRINX Time out of place [ 2025 ] |
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CD AlbumDurée : 46.00 Style : Rock metal progressif |
Lien du groupe : ![]() Lien musical : ![]() | |||
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ORIGINALITE![]() |
TECHNIQUE![]() |
PRODUCTION![]() |
EMOTION![]() |
| Chronique : 30 septembre 2025 , réalisée par IvanJack25 | ||||
Syrinx est un groupe canadien de Vancouver qui après un album en 2019 et un EP en 2020, sort ce second opus. A la lecture de la biographie qui cite Fates Warning, Queensryche, Judas Priest et Rush comme influences, je m’attendais à découvrir un groupe de metal prog de haute voltige, tout nouveau tout frais pour mon appétit insatiable de découvertes musicales. Le soufflé est retombé aussitôt sorti du four et les premières notes émises m’ont empli de désarroi et de déception. Outre la production d’un autre temps, trop roots et bâclée, surtout sur les guitares et la voix, la basse mixée très en avant ne rend vraiment pas justice au jeu du musicien. N’est pas Geddy Lee ou Steve Harris qui veut. Des moments intéressants (mais si peu) se promènent tout au long de la galette, comme un esprit très prog vintage un peu fourre-tout dans ces multiples cassures de rythmes sans réel sens, on ne ressent rien à l’écoute de cette succession de plans sans mélodies, sans feeling, de surcroît pas toujours très bien interprétés. Les musiciens ne sont pas forcément mauvais mais rien n’est vraiment précis, c’est flou, mal fait, brouillon et même les doubles voix féminines censées ajouter de la couleur au chant principal ne sont ni très justes, ni même en place. Le quasi plagiat du son mini-moog et de la basse qui ne peut que rappeler Rush période Hemispheres et Farewell to kings sur « A waking dream » était peut-être à éviter, car les gars sont loin d’être du même niveau que leurs compatriotes. Et cette voix criarde et forcée qui revient toujours nous agresser les tympans, même sur les moments calmes... mais pourquoi ??? J’ai eu du mal à aller jusqu’au bout. Cet album est un échec pour moi et si leur nom désire rendre hommage au morceau de Rush « The temple of Syrinx » de l’album 2112, j’espère que Geddy Lee et Alex Lifeson ne poseront jamais une oreille sur ce groupe. Je préfère me rappeler du groupe français du même nom qui avait sorti un album de rock prog instru « Reification » en 2003, classieux, bourré de charme et d’émotions. Line-up: Graham McGee : Guitars/Moog Taurus/Little Phatty/Minimoog/Oberheim OB-X/Backing Vocals. JP Abboud - Vocals. Seth Lyon - Drums/Percussion. Bobby Shock - Bass/Moog Taurus/Minimoog/Oberheim Matrix. Lady Chanelle - Background Vocals. Pour des raisons de confidentialité YouTube a besoin de votre autorisation pour charger. Pour plus de détails, veuillez consulter nos Politique de confidentialité. |
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