CHRONIQUES D'ALBUMS




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SONIC SYNDICATE
We Rule The Night [ 2010 ]
Pavillon 666 - metal rock webzine CD - Durée : 40.18 - Style : Modern « Metal »
Informations :
Interview :
Contact label : http://www.nuclearblast.de
Contact groupe : http://www.myspace.com/sonicsyndicate
 


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ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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Chronique : 11 septembre 2010 - Chroniqueur : YaDuJoR
 

Les singles précédents l’arrivée de cet album, « Burn This City » puis « Revolution, Baby » (accompagnés de clips plus ou moins médiocres) m’avaient mis la puce à l’oreille quant à la qualité de ce quatrième album, « We Rule The Night » (très prétentieux comme titre…). Je n’étais pas un fan conquis mais j’avais bien aimé les trois premières sorties de Sonic Syndicate avec l’ancien chanteur Roland Johansson; bien que le chant clair était déjà dominant (ce qui ne me dérange pas particulièrement), il y avait un fond musical melodeath/modern metalcore travaillé et bien présent.

Ici, on se rend compte dès l’intro du premier titre qu’on va plus avoir affaire à du « pop metal » qu’à autre chose. Bien que la voix de Nathan J. Biggs ne soit pas dérangeante (il faut avouer qu’il a une belle voix), elle est trop mise en avant par rapport au chant screamé de Richard Sjunnesson et surtout par rapport aux instruments ; les Suédois ont choisi de tout miser sur le chant mielleux pour attirer un public de jeunes « metalcoreux » habitués aux groupes comme Atreyu, Avenged Sevenfold etc. (pas vraiment le « bon metalcore » à mon goût), au détriment d’une composition instrumentale plutôt bâclée, et c’est bien dommage. Certes, on retrouve quelques mélodies percutantes taillées pour vous rester en tête ici et là, mais le tout sonne bien trop mou… Vraiment, il n’y a plus grand-chose de « metal » dans cet album.
Les ballades (« My Own Life », « Miles Apart ») feront bien rire les plus baroudeurs d’entre vous tellement elles débordent de gentillesse, rien à voir avec des grands classiques de la ballade comme « Nothing Else Matters » ou « À Tout Le Monde » de qui-vous-savez ; Nuclear Blast a-t-il obligé le groupe à se radoucir pour passer à la radio et récolter de l’argent ? À ce point là, on est amené à se poser la question.

Je ne l’ai écouté qu’une petite dizaine de fois (sa courte durée aidant) mais une chose est certaine, c’est que lorsque je voudrais ré-écouter du Sonic Syndicate, je ne choisirais pas cet album mais plutôt un bon « Only Inhuman » ou « Love And Other Disasters ».
Amateurs de Sonic, écoutez pour vous faire une idée ; Amateurs de metalcore, il y a bien mieux sur le marché ; Pour les autres metalleux pas très fans de metalcore, je pense à votre santé et vous conseille de ne pas l’écouter, vous risqueriez de ne pas en sortir indemne mentalement…








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