« The monolith deathcult » nous offre là son deuxième album et attention, ils ne font pas dans la dentelle et nous délivrent un brutal death énorme.
Ce n’est seulement que leur deuxième album, et les gars de « The monolith »nous prouvent qu’ils savent jouer du brutal death et ça fait mal. Dès le début on prend sa claque les riffs s’enchaînent, c’est rapide, précis, technique. Les solos au milieu de ce déluge de brutalité sont terribles. De plus au milieu de cette violence et des démonstrations techniques des musiciens on peut entendre de petits passages au clavier qui nous font penser à du « Nile », les ambiances Egyptiennes en moins, comme dans la chanson « 1567-under the bloodcampaign ».

C’est un album varié, inspiré très bien construit dans la structure des morceaux, avec des enchaînements de solos, passages bien speed et rythmé, des breaks avec le clavier. De temps en temps le chanteur passe en voix plus aiguës, ce qui ajoute encore à la diversité de l’album. Le seul petit problème de cet album est que plus on l’écoute plus il nous fait penser à un album de «Nile », mais est-ce vraiment un mal?
C’est un album bien puissant, dévastateur, varié, à chaque écoute on découvre des petites choses en plus dans la musique de «the monolith deathcult ».
La violence dans la musique de «the monolith » sert à exprimer la violence des thèmes choisis qui sont la première et la seconde guerre mondiale, la révolution russe ainsi que les guerres historiques.
Pour finir, je dirais que « the monolith deathcult » nous fait une démonstration de violence, de technique, et d’originalité, ce qui nous donne un sacré album de brutal death metal à écouter de toute urgence.