CHRONIQUES D'ALBUMS




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RICK SPRINGFIELD
Songs for the end of the world [ 2012 ]
Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album - Durée : 46.58 - Style : Rock
Informations :
Interview :
Contact label : http://www.frontiers.it/
Contact groupe : http://www.rickspringfield.com/ http://www.myspace.com/officialrickspringfield
 


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ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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Chronique : 21 novembre 2012 - Chroniqueur : g-rom
 

RICK SPRINGFIELD, guitariste, chanteur, auteur, compositeur, interprète et acteur australien, est connu pour avoir publié une multitude d'album dans les années 80, avec notamment le tube "Jessie's girl". Mais il est difficile d'appréhender un nouvel opus de cet artiste tant il a alterné ces dernières années, le bon ("Venus in overdrive" en 2008), le moins bon ("The day after yesterday" en 2005) et le mauvais ("Christmas with you" en 2007). Qu'en est-il de ce "Songs for the end of the world", dont le titre sied à merveille à cette fin d'année apocalyptique.

L'opus démarre sur les chapeaux de roues avec "Wide awake", intro moderne, guitares assez rageuses, refrain entêtant, tempo appuyé à la limite du "pop/punk" qui n'est pas sans rappeler "Heartkiller de HIM. L'ambiance très "rock" ne faiblit pas sur le deuxième morceau, "Our ship's sinking", qui est du même acabit. En collaboration avec Matt Bissonette (DAVID LEE ROTH, ELTON JOHN), RICK SPRINGFIELD, accompagné d'une multitude d'invités, nous a concocté un opus très "guitares", comme en témoignent les "Wide awake", "Sign of life" ou "Love screws me up".

A 63 ans, RICK SPRINGFIELD est encore capable d'écrire de véritables hits comme "Joshua" et son refrain passe partout, "Gabriel" mêlant un "rock" acoustique et guitares mélodiques, ou la ballade officielle, "You and me".

Quelques surprises viennent jalonner le disque, en tête desquelles "My last heart beat", titre à la fois sombre et moderne, mais aussi "Love screws me up" et sa musique influencée "country".

Cependant, quelques bémols viennent ternir la qualité de "Songs for the end of the world", comme "Depravity" franchement poussif et le grave "I found you". Le problème est que ces deux morceaux se suivent et se situent en fin d'album, ce qui casse considérablement le rythme général du disque et qui laisse un arrière goût amer désagréable, ces morceaux sentant le remplissage à plein nez. Aussi, le disque sort en plusieurs éditions, avec pochettes et titres bonus différents, ceux qui me sont proposé "Let me in" et "My oui" sont très dispensable et ajoutent encore plus à ce goût d'inachevé.

Au final, la cuvée RICK SPRINGFIELD 2012 est un bon millésime qui se boit aux 3/4, pas grand chose à reprocher aux neufs premiers morceaux, ce qui n'est pas le cas des cinq derniers (bonus inclus) qui s'adressent plus aux fans de la première heure de l'artiste. A l'instar de JIMI JAMISON, force est de constater que les papys font de la résistance et renvoient un bon nombre de jeunes loups à leurs études.








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