PROFUNDIS TENEBRARUM
Apocalypchrist [ 2011 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 66.02
Style : Black
  Infos :
  Contact label :
  Contact groupe : https://www.facebook.com/profundis.tenebrarum
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 16 avril 2013 , réalisée par Lemniscate
   
Fondée au milieu des années 90, Profundis Tenebrarum était à l’origine un one-man band menée par Nocturn. Puis au fil des rencontres, ce projet est finalement devenu un groupe à part entière qui sort désormais son troisième album intitulé « Apocalypchrist ».

L’album commence par « Timeless Void of Anguish », un morceau qui pourrait illustrer l’album à lui tout seul par son démarrage au quart de tour et sa linéarité dans la vitesse, la noirceur et la violence. Car il faut reconnaître que cet album a beau être, d’une manière générale, sombre et incisif, il n’en reste pas moins linéaire, pour ne pas dire monotone.
Les compos, sont bien construites mais possèdent très (trop ?) souvent cet espèce d’arrière goût de « déjà entendu ». Sur « Revolting Against My Flesh » on croit reconnaître du Immortal, sur « Into The Black Flame » on croit reconnaître du Enthroned etc…
La fin de l’album est toutefois des plus surprenantes. Là où certains disques ont tendance à traîner en longueur et sembler interminables, le dixième titre « Darkness Unfold » va s’appuyer sur les synthés qui clôturaient « Beyond The Aris of Knowledge » pour créer et imposer un « dark ambient » dans la veine de Lustmord, très bien réalisés. Parmi les morceaux qui suivent, « Gleams of Death » et « Apocalypchrist » seront également des morceaux « dark ambient », coupés toutefois par un « Sacrilegious Domains » mid tempo à l’intro magistrale et aux sonorités black très crues.

D’une manière générale, cet album est un paradoxe à lui tout seul.
Bon j’exagère un peu, mais il faut reconnaître que ce disque à beau être sombre et incisif, il n’en reste pas moins monotone jusqu’au passage « dark ambient » qui joue le rôle de la surprise.
Un disque qui fait passer un bon moment aux amateurs de black. Rien de plus.







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