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IMPERIAL STATE ELECTRIC Reptil brain music [ 2013 ] |
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CD Album - Durée : 33.20 - Style : Rock, Glam 70's, psyché | |
Informations : | |
Interview : | |
Contact label : | |
Contact groupe : | |
ORIGINALITE TECHNIQUE PRODUCTION EMOTION |
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Chronique : 12 janvier 2014 - Chroniqueur : cycy | |
« Rock n’Roll will never die », on en a tous conscience mais s’il y en a un qui en a la certitude la plus absolue c’est bien NICKE ANDERSSON, célèbre par son groupe ENTOMBED et par son co-project avec DREGEN des BACKYARD BABIES, THE HELLACOPTERS. Laissant tomber le DEATH METAL pour un temps, NICKE nous revient avec un groupe « plus Rock n’Roll tu meurs », IMPERIAL STATE ELECTRIC. Et bien que NICKE navigue dans tout un tas de groupe en Suède, il faut dire que le lascar est sacrément influent sur cette scène, le voilà avec ce nouvel album REPTIL BRAIN MUSIC, troisième d’une pourtant très courte carrière puisque le groupe a vu le jour à la fin de la dernière décennie. Ici, point de Métal, point de voix gutturales, et point de THE HELLACOPTERS non plus. Quand bien même ce dernier était une ode au Sleaze Rock n’Roll des 70’s, IMPERIAL STATE ELECTRIC bombarde littéralement un retour en arrière dans l’histoire du rock assez phénoménal. Sacrément teinté BOWIE, SWEET ou encore le « plus grand groupe de GLAM de tous les temps », avis personnel je précise, je veux parler de T-REX. Mais pas seulement. Et il y a des albums qu’il est sacrément difficile de décrire tant écrire des lignes sur un titre en particulier pourrait faire offense au suivant tant on se prendrait à se dire « oui mais, arggghhhhh, lui aussi … ». Bref, NICKE a su trouver avec les acolytes qui l’accompagnent, une alchimie et une osmose absolument géniale. D’une part parce que tous sont de sacrés musiciens imprégnés par une période plus que faste de notre histoire commune, mais également parce que chacun sait y trouver sa place et s’imposer au chant ou sur tel instrument suivant sa capacité à s’investir sur tel ou tel titre. Bref, ça respire l’authenticité et la spontanéité à plein nez. Ici, point de calcul, point de réflexion complexe quant à 250 riffs différents à mettre dans un même morceau pour parvenir à battre un pseudo record du monde de longueur très souvent non justifiée. Non, là je parle du Rock n’Roll dans ce qu’il a de plus … de plus SWEET ou T-REX en fait avec ce groove tellement psyché qui a fait la richesse de toute une décennie, ou presque. On pourrait se dire alors qu’ils ne se sont pas foulés et qu’ils ne font que s’accommoder de « vagues » influences. Erreur monumentale tant le gaillard suédois qu’est NICKE, du haut d’une discographie et de partage musical en tout genre, a su y apporter sa touche personnelle et une modernité à un style qui, on peut le reconnaître parfois, avait tout dit et inventé à l’époque. En résumé, sans vouloir être trop pompeux, cet album est une totale réussite et vivement la suite. | |
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