CHRONIQUES CONCERTS

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Epica
Avec : Xandria, Stream of Passion, Epica
  Date du concert : 29-04-2012
  Lieu : Le Bataclan - Paris [ 75 ]
  Affluence : 1 500
  Contact organisateur :
 
 
 
  Chronique : 12 mai 2012 , réalisée par La.Faux - Photographe : Diane Rx Photography https://www.facebook.com/pages/diane-rx-photography/210610619008162
   
<p class="Sansinterligne">Habitu&eacute; des guichets ferm&eacute;s dans son pays d&rsquo;adoption qu&rsquo;estla France, le combo n&eacute;erlandais d&rsquo;Epica ne pouvait faire que salle comble pour son premier Bataclan &ndash;RIP Elys&eacute;e-Montmartre, l&rsquo;une des salles pr&eacute;f&eacute;r&eacute;es du groupe et de bien d&rsquo;autres&hellip;&nbsp;C&rsquo;est en compagnie des allemands de Xandria et des n&eacute;erlandais sauce mexicaine de Stream of Passion qu&rsquo;Epica concluait ce dimanche sa tourn&eacute;e d&rsquo;avril avant de reprendre courant mai dans le reste d&rsquo;une partie de l&rsquo;Europe, toujours avec Xandria mais sans Stream of Passion.&nbsp;Chaud devant&nbsp;!</p>
<p class="Sansinterligne">Car pour faire chaud&hellip;il faisait chaud&nbsp;! Travers classique du Bataclan me direz-vous, pas aid&eacute; par l&rsquo;absence de pit pour les premiers rangs &eacute;bouillant&eacute;s contre la sc&egrave;ne &ndash;et pour les photographes-, heureusement en partie compens&eacute; par l&rsquo;ouverture des portes d&rsquo;issue de secours entre chaque set pour tenter d&rsquo;apporter un peu d&rsquo;air neuf dans l&rsquo;ambiance torride et enfum&eacute;e.</p>
<p>De ce fait, il ne faudra pas plus d&rsquo;un titre pour que le visage de la nouvelle chanteuse de Xandria, Manuela Kraller, ne ruisselle et ce tout le long du show. El&eacute;gamment v&ecirc;tue de noir et rouge raccord avec sa chevelure, l&rsquo;allemande &eacute;blouit &agrave; peu pr&egrave;s autant qu&rsquo;il &eacute;tait permis de l&rsquo;anticiper &agrave; l&rsquo;&eacute;coute du dernier opus sorti en mars, &laquo;&nbsp;Neverworld&rsquo;s End&nbsp;&raquo;, qui a litt&eacute;ralement surpris la presse et projet&eacute; le groupe du rang d&rsquo;&eacute;ternel second couteau &agrave; celui de dangereux outsider sur lequel il faudra clairement compter dans les ann&eacute;es &agrave; venir. Ne disposant que de trente minutes de show, le groupe piochera all&egrave;grement dans cet album mais seulement pour les morceaux les plus courts et les plus simples, aux d&eacute;pends des vraies bombes de l&rsquo;album. &laquo;&nbsp;Forevermore&nbsp;&raquo; est sympathique mais dispensable, &laquo;&nbsp;Euphoria&nbsp;&raquo; ne (me) convainc pas plus que sur CD et de cruels manques se font sentir comme &laquo;&nbsp;Cursed&nbsp;&raquo; ou &laquo;&nbsp;Soulcrusher&nbsp;&raquo;, sans parler des morceaux longs qui eux, malheureusement, n&rsquo;auraient effectivement pas &eacute;t&eacute; pertinents sur un set aussi court. De ce fait, certains spectateurs d&eacute;couvrant le groupe ce soir n&rsquo;ont pas pu entendre les titres les plus originaux du groupe, et c&rsquo;est dommage.</p>
<p><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_xandria01.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_xandria02.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_xandria03.jpg" alt="" width="25%" border="0" /></p>
<p>Dans des lumi&egrave;res pas toujours avantageuses, le combo montre un plaisir sur sc&egrave;ne qui fait plaisir &agrave; voir, le guitariste Philip Restemeier en t&ecirc;te. On notera la pr&eacute;sence d&rsquo;un bassiste de remplacement, Guido Wehmeyer (ex-Axxis), suite aux probl&egrave;mes de sant&eacute; de Nils Middelhauve et &agrave; la d&eacute;fection du rempla&ccedil;ant d&rsquo;origine, Fabio d&rsquo;Amore, qui devait rejoindre son groupe principal Serenity pour une date headline en Autriche la veille. Ces bouleversements ne semblent pas affecter le groupe, qui port&eacute; par une foule enthousiaste, donne ses tripes. Si en live, l&rsquo;effet vibrato parfois too much de la voix de Manuela peut se faire entendre, force est de reconna&icirc;tre que l&rsquo;allemande est &eacute;trang&egrave;re au concept de fausse note. Comme quoi on peut commencer &agrave; chanter &agrave; 23 ans et &ecirc;tre impeccable sur sc&egrave;ne quelques ann&eacute;es &agrave; peine plus tard. La d&eacute;monstration de force s&rsquo;ach&egrave;ve d&rsquo;ailleurs sur le morceau historique du groupe, &laquo; Ravenheart &raquo;. A revoir en headline d&egrave;s que possible pour un vrai set complet !</p>
<p><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_xandria04.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_xandria05.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_xandria06.jpg" alt="" width="25%" border="0" /></p>
<p class="Sansinterligne"><span style="text-decoration: underline;">Setlist</span>&nbsp;:</p>
<ul>
<li>Valentine</li>
<li>Blood On My Hands</li>
<li>Euphoria</li>
<li>Forevermore</li>
<li>The Lost Elysion</li>
<li>Ravenheart</li>
</ul>
<p>Quand les n&eacute;erlandais de Stream of Passion prennent le relais dans un Bataclan moite et &eacute;touffant quelques instants plus tard, les probl&egrave;mes de son commencent &agrave; pointer le bout de leur nez : le micro de la mexicaine Marcela Bovio fera bon nombre de mauvaises blagues et se fera un malin &agrave; plaisir &agrave; fonctionner en fractionn&eacute;. Ajoutez &agrave; cela des balances discutables, des lumi&egrave;res moisies &agrave; base de fum&eacute;e et des samples par moment inaudibles, et vous comprendrez pourquoi il a &eacute;t&eacute; difficile d&rsquo;appr&eacute;cier le set &agrave; sa juste valeur. Cela ne m&rsquo;a pas trop pos&eacute; de probl&egrave;me, connaissant bien le groupe et la setlist choisie, mais pour se faire de nouveaux fans, cela a pu &ecirc;tre moins efficace que pr&eacute;vu. Pourtant la qualit&eacute; est l&agrave;, musicalement comme sc&eacute;niquement. Plus expressif que d&rsquo;ordinaire, le guitariste Eric Hazebroek chauffe bien sa portion de la sc&egrave;ne, et le bassiste Johan Van Stratum saute partout comme &agrave; son habitude malgr&eacute; le peu de place octroy&eacute;. Radieuse comme d&rsquo;habitude, Marcela s&rsquo;en sort bien vocalement, m&ecirc;me si elle bluffe moins son monde que d&rsquo;habitude &ndash;fin de tourn&eacute;e oblige, probablement. Le set est l&rsquo;occasion de d&eacute;couvrir son nouveau violon customis&eacute; en forme de &laquo; V &raquo; guitare &eacute;lectrique avec mini-bandouli&egrave;re assortie, m&ecirc;me si elle en jouera cruellement peu lors de ce concert.</p>
<p><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_streamofpassion01.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_streamofpassion02.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_streamofpassion03.jpg" alt="" width="25%" border="0" /></p>
<p>Question setlist, on trouve comme d&rsquo;habitude -voir report de Tilburg- de tr&egrave;s bons morceaux du dernier album (&laquo; Lost &raquo;, &laquo; Collide &raquo;) comme du tout premier -&laquo; Haunted &raquo;, toujours aussi sublime-, la reprise de Radiohead &laquo; Street Spirit &raquo; qu&rsquo;il conviendrait de remplacer un de ces jours pour un peu de nouveaut&eacute;, et quelques morceaux plus dispensables &ndash;car mous du genou-du second album. Une prestation un peu en-de&ccedil;a de ce &agrave; quoi l&rsquo;on pouvait s&rsquo;attendre donc, d&rsquo;autant que le groupe n&rsquo;a jamais fait de date headline en France hormis le Hells On Stage en novembre dernier &agrave; Lyon, et n&rsquo;&eacute;tait pas pass&eacute; &agrave; Paris depuis 2009 avec Leaves&rsquo; Eyes &ndash;en non acoustique en tout cas. Esp&eacute;rons qu&rsquo;ils reviennent bient&ocirc;t pour un set plus long et plus abouti.</p>
<p><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_streamofpassion04.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_streamofpassion05.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_streamofpassion06.jpg" alt="" width="25%" border="0" /></p>
<p class="Sansinterligne"><span style="text-decoration: underline;">Setlist</span>&nbsp;:</p>
<ul>
<li>Lost</li>
<li>Passion</li>
<li>Collide</li>
<li>Spark</li>
<li>Haunted</li>
<li>Street Spirit</li>
<li>This Endless Night</li>
</ul>
<p>Enfin, c&rsquo;est au tour d&rsquo;Epica de monter sur sc&egrave;ne. Curieusement, aucun malaise dans la salle, mais la chaleur a atteint un nouveau paroxysme. Epargn&eacute; du vilain rideau inutile, le set commence comme d&rsquo;habitude sur &laquo; Karma &raquo; et &laquo; Monopoly on Truth &raquo;, et malgr&eacute; un son &eacute;pouvantable &ndash;devant en tout cas- l&rsquo;ambiance est &agrave; son comble. Le public qui ne cesse rajeunir &ndash;ou moi de vieillir ?- est &agrave; fond, et lorsque Simone demandera qui &eacute;tait pr&eacute;sent pour leur premier concert &agrave; Paris 10 ans auparavant &agrave; la Loco, seuls quelques cris timides se feront entendre, la faisant sourire. Oui, depuis, Epica en a parcouru du chemin et le prouve encore ce soir, que ce soit par cette salle comble enti&egrave;rement acquise &agrave; sa cause, la diversit&eacute; de sa setlist, ou encore son nouveau set de pieds de micro m&eacute;tallis&eacute;s raccord avec l&rsquo;univers m&eacute;canique et technologique du dernier opus, &laquo; Requiem for the Indifferent &raquo;. Pour ceux qui avaient pu lire les reports de Tilburg ou du PPM Fest, il y &eacute;tait &eacute;voqu&eacute; une Simone &eacute;teinte et en demi-teinte vocalement : &eacute;tonnant et rassurant, &agrave; Paris pour la derni&egrave;re date de leur premi&egrave;re partie de tourn&eacute;e europ&eacute;enne, la rousse &ndash;virant au blond depuis quelques temps- &eacute;tait en bien meilleure forme. Si elle n&rsquo;a pas &eacute;pargn&eacute; les anciens titres comme &laquo; Cry for the Moon &raquo; ou &laquo; Sancta Terra &raquo; &ndash;il serait peut-&ecirc;tre temps de varier un peu de setlist ?-, elle a &eacute;t&eacute; fid&egrave;le aux lignes de chant des nouveaux morceaux et a surtout montr&eacute; un visage plus frais et plus enthousiaste, quittant beaucoup moins la sc&egrave;ne que d&rsquo;habitude, headbangant plus, et sautillant m&ecirc;me sur la fameuse version disco du titre &laquo; The Phantom agony &raquo;, jou&eacute; pour f&ecirc;ter les 10 ans du groupe. Il s&rsquo;agira d&rsquo;ailleurs de l&rsquo;un des gros temps forts de ce concert, si ce n&rsquo;est LE temps fort.</p>
<p><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_epica01.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_epica02.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_epica03.jpg" alt="" width="25%" border="0" /></p>
<p>Les autres membres du groupe sont aussi enthousiastes que d&rsquo;habitude, mais l&rsquo;absence de pit qu&rsquo;ils n&rsquo;avaient pas v&eacute;cue &agrave; Paris depuis des ann&eacute;es sera l&rsquo;occasion pour les guitaristes Mark Jansen et Isaac Delahaye de renforcer leur proximit&eacute; avec le public en allant jusqu&rsquo;&agrave; tendre leur guitare aux doigts moites des premiers rangs. Ils organiseront &eacute;galement un concours de bruit &ndash;somme toute classique- en se divisant la foule entre eux, Isaac s&rsquo;adressant m&ecirc;me en fran&ccedil;ais &agrave; sa portion pour la galvaniser &ndash;elle remportera le duel sans encombres. Rob Van Der Loo, nouveau bassiste permanent apr&egrave;s le d&eacute;part de Yves Huts, avait bien failli ne pas &ecirc;tre l&agrave; &agrave; cause d&rsquo;ennuis de sant&eacute; qui lui avaient fait rater le d&eacute;but de la tourn&eacute;e &ndash;juste apr&egrave;s le PPM en Belgique- : toujours un peu en retrait mais semblant en forme, il assure parfaitement sa prestation m&ecirc;me s&rsquo;il est dommage de voir Isaac et Mark souvent interagir dans un coin de la sc&egrave;ne en laissant Rob seul de l&rsquo;autre. Ces deux-l&agrave; semblent d&rsquo;ailleurs d&eacute;couvrir de nouveaux jeux &agrave; chaque concert, le dernier en date sur l&rsquo;inamovible chanson de fin de concert, &laquo; Consign to Oblivion &raquo;, consistant &agrave; se frapper mutuellement un peu partout tout en jouant.</p>
<p class="Sansinterligne"><span lang="FR">De ce point de vue donc, on assiste &agrave; un concert &laquo;&nbsp;classique&nbsp;&raquo; d&rsquo;Epica&nbsp;: de la bonne humeur, de l&rsquo;interaction entre les membres &ndash;Simone provoque toujours autant Mark et d&eacute;lie toujours autant les langues sur le sujet-, des morceaux inamovibles &ndash;enthousiasmant quand il s&rsquo;agit de &laquo;&nbsp;the Obsessive Devotion&nbsp;&raquo;, moins quand il s&rsquo;agit de &laquo;&nbsp;Cry for the Moon&nbsp;&raquo;-, des jeux de sc&egrave;ne que l&rsquo;on conna&icirc;t &ndash;le duel Coen/Arien sur &laquo;&nbsp;Consign&nbsp;&raquo; commence toutefois &agrave; faire un peu r&eacute;chauff&eacute;- et des lumi&egrave;res un peu meilleures que sur les pr&eacute;c&eacute;dentes dates de cette nouvelle tourn&eacute;e.</span></p>
<p><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_epica04.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_epica05.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../http://www.pavillon666.fr/live_rep/pics2012/290412_paris_epica06.jpg" alt="" width="25%" border="0" /></p>
<p class="Sansinterligne"><span lang="FR">Que reprocher alors&nbsp;? Le cruel manque de repr&eacute;sentation de l&rsquo;avant dernier album &laquo;&nbsp;Design Your Universe&nbsp;&raquo;, pourtant consid&eacute;r&eacute; par plusieurs comme l&rsquo;un des meilleurs si ce n&rsquo;est le meilleur album du groupe, avec seulement &laquo;&nbsp;Unleashed&nbsp;&raquo; au rappel. Un bon morceau bien s&ucirc;r, mais l&rsquo;absence d&rsquo;un &laquo;&nbsp;Martyr of the Free Word&nbsp;&raquo; demeure pour le moins inexplicable.</span></p>
<p class="Sansinterligne"><span lang="FR">Ensuite, le choix de &laquo;&nbsp;Delirium&nbsp;&raquo; en ballade, tant le morceau est long et ennuyeux &ndash;bien que plut&ocirc;t joli, bien s&ucirc;r. Un &laquo;&nbsp;Deep Water Horizon&nbsp;&raquo; aurait &eacute;t&eacute; un bien meilleur choix &agrave; la place.</span></p>
<p class="Sansinterligne"><span lang="FR">Pour le reste de la setlist, hormis les reproches d&eacute;j&agrave; effectu&eacute;s, il n&rsquo;y a pas &agrave; se plaindre m&ecirc;me si elle manque un peu de vari&eacute;t&eacute; entre les dates. Il est toujours plaisant d&rsquo;avoir un petit &laquo;&nbsp;Blank Infinity&nbsp;&raquo; m&ecirc;me si l&rsquo;on regrette &laquo;&nbsp;Quietus&nbsp;&raquo;, et le featuring de Manuela Kraller et Marcela Bovio sur &laquo;&nbsp;Sancta Terra&nbsp;&raquo; rendent le morceau un peu moins &eacute;cul&eacute;, m&ecirc;me s&rsquo;il nous rappelle que Floor Jansen se fait d&eacute;sirer dans nos contr&eacute;es. Un autre featuring int&eacute;ressant aura lieu sur l&rsquo;autre &eacute;ternel morceau qui lasse, &laquo;&nbsp;Cry for the Moon&nbsp;&raquo;, avec Marcela au violon&nbsp;; h&eacute;las on n&rsquo;en entendra que la fin en raison d&rsquo;un probl&egrave;me de micro, une fois n&rsquo;est pas coutume.</span></p>
<p class="Sansinterligne"><span lang="FR">Au rayon des surprises, &laquo;&nbsp;Monopoly on Truth&nbsp;&raquo; m&rsquo;a sembl&eacute; bien plus convaincante que les fois pr&eacute;c&eacute;dentes. L&rsquo;app&eacute;tit vient en mangeant&nbsp;? </span></p>
<p class="Sansinterligne"><span lang="FR">En revanche, &laquo;&nbsp;The Obsessive Devotion&nbsp;&raquo; n&rsquo;a &eacute;trangement pas tenu ses promesses, le groupe cafouillant &agrave; certains passages&nbsp;: probablement un passage &agrave; vide de milieu de set, auquel Epica ne nous a pourtant pas habitu&eacute;s.</span></p>
<p class="Sansinterligne"><span lang="FR">En d&eacute;finitive, il s&rsquo;agissait d&rsquo;un bon concert, surtout pour une fin de tourn&eacute;e, et plusieurs mauvais points des pr&eacute;c&eacute;dentes dates ont &eacute;t&eacute; am&eacute;lior&eacute;s, Simone en t&ecirc;te&nbsp;: elle ira m&ecirc;me jusqu&rsquo;&agrave; serrer quelques mains au premier rang &agrave; la fin, de l&rsquo;in&eacute;dit&nbsp;! Pour autant, il serait de bon ton de proposer &agrave; l&rsquo;avenir une setlist plus coh&eacute;rente et enthousiasmante &ndash;les nouveaux morceaux ont beaucoup moins provoqu&eacute; l&rsquo;enthousiasme de la foule que les anciens, on se demande pourquoi-, et surtout de choisir les morceaux diff&eacute;remment si Simone persiste &agrave; abandonner le lyrique, car bon nombre d&rsquo;anciens titres ne semblent h&eacute;las- plus adapt&eacute;s.</span></p>
<p><img class="magnify" src="../../..//live_rep/pics2012/290412_paris_epica07.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../../..//live_rep/pics2012/290412_paris_epica08.jpg" alt="" width="25%" border="0" /><img class="magnify" src="../../..//live_rep/pics2012/290412_paris_epica09.jpg" alt="" width="25%" border="0" /></p>
<div>
<p class="Sansinterligne"><span style="text-decoration: underline;">Pour ceux qui ont eut la flemme de (tout) lire</span>&nbsp;:</p>
<p class="Sansinterligne"><span style="text-decoration: underline;">Tueries</span>&nbsp;: &laquo;&nbsp;The Phantom Agony&nbsp;&raquo; disco version, &laquo;Consign to Oblivion&raquo;, les featuring de Manuela et Marcela.</p>
<p class="Sansinterligne"><span style="text-decoration: underline;">B&eacute;mols</span>&nbsp;: choix discutable d&rsquo;anciens morceaux, pas assez de repr&eacute;sentants de &laquo;&nbsp;Design Your Universe&nbsp;&raquo;.</p>
<p class="Sansinterligne">&nbsp;</p>
<p class="Sansinterligne"><span style="text-decoration: underline;">Setlist</span>&nbsp;:</p>
<ul>
<li>Karma</li>
<li>Monopoly on Truth</li>
<li>Sensorium</li>
<li>Deter the Tyrant</li>
<li>Serenade of Self-Destruction</li>
<li>Sancta Terra [avec Marcela Bovio et Manuela Kraller]</li>
<li>Delirium</li>
<li>Blank Infinity</li>
<li>The Obsessive Devotion</li>
<li>Storm the Sorrow</li>
<li>The Phantom Agony</li>
</ul>
<p class="Sansinterligne"><em><span style="text-decoration: underline;">Encore:</span></em></p>
<ul>
<li>Cry for the Moon [avec Marcela Bovio]</li>
<li>Unleashed</li>
<li>Consign to Oblivion</li>
</ul>
</div>

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