CHRONIQUES DE CONCERTS

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METALDAYS - JOUR-4
Avec : Rotting christ, arch enemy, unearth, hardcore superstar, betraying the martyrs, archgoat, vreid, adam bomb profane omen, broken mirrors, morana
Date du concert : 23-07-2015  
Lieu : Open air - Tolmin [ Hors-France ]  
Affluence : 12000  
Contact organisateur : http://www.metaldays.net/  
Interview :  
   
Date de la chronique : 20 août 2015 - Chroniqueur : Black.Roger - Photographe : black.roger & bene  


Nous sommes déjà Jeudi, comme le temps passe ! Mais pas de relâchement chez Pavillon666, au contraire. Aujourd’hui, outre la plage, la chaleur toujours présente, nous avons des interviews à effectuer et des groupes à voir jusqu’à 3heures du matin, ouf !

CHRONIQUES BLACK.ROGER

On débute tard dans la journée après un repos bien mérité car il va falloir tenir tard dans la nuit.
Alors à 16heures 40 rendez-vous avec les Finlandais de PROFANE OMEN qui investissent la grande scène prêts à en découdre avec le public du metaldays.
La bande à Jules confirme et signe après les avoir vu pour ma part à Lyon en concert le 26 Mars dernier en première partie de Finntroll. Comme je l’avais dit à l’époque, sur scène ça « tabasse sec » avec leur death mélodique bien rock n’roll. Le set est propulsé par un frontman délirant accompagné de musiciens qui connaissent la « chanson » après 4 albums et des « live » à toute épreuve depuis une quinzaine d’année. Alors fatalement on aime et les 40 petites minutes qui leur sont allouées aujourd’hui nous ont paru bien courtes.



On file maintenant vers la seconde scène car nous avons rendez-vous avec nos savoyards préférés BROKEN MIRRORS interrogés la veille ici à Tolmin.
Ceux d’Annecy ont eu l’opportunité de venir jouer ici en Slovénie au Metaldays afin de nous présenter leur death/thrash mélodique, puissant, varié et bien en place.
Leur second album de 2012 « The Universal Disease » avait en quelque sorte enfoncé le clou. Un troisième opus est déjà enregistré et va bientôt débouler sur vos platines. Mais en attendant savourons leur prestation Slovène d’une petite demi-heure je vous l’accorde, mais une prestation qui fut courte et intense selon la formule consacrée.
Au menu dérapages heavy-prog, duels guitares-claviers, flirt avec le black sympho, thrash enflammé aussi, bref, les plaisirs auditifs sont variés avec eux.
Alors, non ce n’est pas du cChildren of Bodom, mais bien maintenant du Broken Mirrors et ça fonctionne vraiment, on leur souhaite bonne chance pour la suite après cette démonstration nette, claire et précise.



Je reste ensuite devant cette scène afin de découvrir MORANA qui envoie le son dès 17heures 35.
MORANA est un groupe de death mélodique venant de Kranj en Slovénie et qui joue donc « at home » ce Jeudi après-midi. Death mélodique donc, mais en ce qui me concerne je pencherais plutôt vers du dark, d’ailleurs tous les membres du groupe sont en noir, c’est un signe, non ? Dépassons ce cliché pour nous intéresser à leur musique qui se vent sombre avec des textes inspirés de la mythologie Slave. Voix plutôt black, musique agréable mais sans accroche particulière. On se retrouve en terrain déjà conquit dans une veine folk-metal surtout. Prestation inspirée mais qui ne m’a pas apporté d’éléments nouveaux dans le style. Bon groupe tout de même qui fait son petit effet.


C’est l’heure maintenant des interviews, alors on patiente dans l’espace VIP attendant le feu vert de l’orga du fest. Et c’est à 18heurs que l’on nous invite à monter dans la loge de BETRAYING THE MARTYRS. Ensuite à 18heures 30 ce sera le tour de PROFANE OMEN à répondre aux questions de Pavillon666. Quant à KATAKLYSM, pas de confirmation des interviews…


Je retourne à nouveau devant la seconde scène, et par curiosité je vais essayer d’apprécier le show « lumineux » d’ADAM BOMB. En effet sur scène les « leds » sont présents partout, autour des amplis, autour de la batterie et sur la guitare d’Adam qui, coiffé de son chapeau, s’exprime derrière un pied de micro fleuri.
Curieux bonhomme que cet Adam Bomb que l’on se doit de voir sur scène au moins une fois dans sa vie. Cette légende américaine du hard-rock, heavy-glam old school a débuté sa carrière en 1979 et a joué avec notamment Chuck berry, Johnny Thunders et Steve Stevens (Billy Idol ). Maintenant il écume les scènes du monde entier en trio avec bassiste et batteur. Alors sur scène cela donne quoi ?
Et bien c’est plaisant, c’est un ovni du rock qui nous fait profiter d’un show pas « has been » comme on pourrait le penser. Avec Adam Bomb nous voyageons dans les couloirs du temps propre au hard-rock et c’est bien sympathique au final.



VREID a déjà commencé de jouer sur la grande scène depuis un moment mais je ne peux m’empècher d’aller « shooter » le groupe depuis la foule et de revoir donc ces black-métalleux Norvègiens en live.
Depuis une dizaine d’années et 6 albums ces musiciens des terres glacées du nord pratiquent un black se voulant évolutif entre passages prog et parties plus agressives dans une veine black n’roll. Ici pas de « corpse-paints » donc mais des musiciens nous proposant des compositions variées et sincères dans un style souvent dépouillé mais puissant et efficace.
Vreid poursuit son chemin plus sombre et misantropique avec certains « flash-backs » puisés dans le traditionnel métal noir. Vreid est donc prenant et inspiré nous faisant profiter en live d’une présence indiscutable comme en avaient les groupes des 90’s dans ce style.
Vreid a donc conquit le public sombre du Metaldays ce jeudi.


Le vent tourne sur la grande scène, les styles aussi. Place maintenant au hard-rock-glam de HARDCORE SUPERSTAR. Et ça va être une déferlante de rock « speedé » qui va faire voler les chevelures et les « slammers » durant 1heure et 15 minutes, garez-vous !
Les Suédois de « Göteborg » donnent le ton en 1998 avec leur premier opus « It’s Only Rock n’Roll », je ne vous fait pas un dessin. Depuis lors ils collectionnent les récompenses « Awards » et écument toutes les scènes avec brio et présence folle indiscutable. Ils tournent actuellement afin de promouvoir leur dernier album « HCSS » qui n’a plus rien à prouver mais qui met comme d’habitude tous les « potets » dans le rouge et sur scène ça le fait grave avec une grosse dose de punch et de « rentre dedans ».
De « Need No Company » à « Above The Law » en passant par « Wild Boys » et « Moonshine » nous avons dégusté dans tous les ses du terme. Une tornade rock endiablée est passée et nous avons aimé cette fraîcheur sans prétention.



Il est 22heures et des poussières à la pendule du metaldays et il est l’heure de voir ce que BETRAYING THE MARTYRS nous offre en live actuellement.
Et bien ce sera du deathcore, mais pas n’importe lequel dans la vague actuelle du style, si style il ya en fait.
Ce groupe de formation assez récente (2008) a donc grillé toutes les étapes afin de parvenir à un statut de groupe inévitable en France et aux « states ». Aaron et ses acolytes ne font pas dans la demi-mesure que ce soit dans de petites salles ou en festival comme au Hellfest notamment.
Alors aujourd’hui à Tolmin ils vont nous prouver, comme si c’était encore une fois nécessaire, que leurs compositions sont faites pour nous en mettre plein la vue (et les oreilles aussi).
Durant une heure sur la seconde scène (ils auraient pu passer sur la mainstage, mais bon) le sextette frenchie va nous balancer avec énergie ses titres bien étudiés pour la scène. Et ceci avec des ambiances adéquat naviguant entre mélodie et agressivité », entre les « growls » d’Aaron et les voix claires de Victor, avec des musiciens éprouvés et bien présents en live.
Avec deux (bons) albums au compteur, des prestations époustouflantes de maturité, BTM a de la ressource, se fait plaisir et nous contente largement par la même occasion.



Gros, morceau, si je puis m’exprimer ainsi, maintenant à 23heures sur la Mainstage avec ARCH ENEMY.
Le public remplit largement l’espace devant la scène et scande le nom du groupe avant le début du set, trépignant d’impatience.
Et enfin tout démarre avec l’arrivée de la chanteuse aux cheveux bleus Alyssa qui va attirer tous les regards, tous les objectifs des photographes durant une heure de set.
Il est vrai que la nouvelle chanteuse Canadienne de Arch Enemy tient la scène sans problème, allant de long en large exciter les autres musiciens. Il est vrai aussi que sa voix ne plait pas à tout le monde en référence avec la précédente frontwoman Angela Gossow. Mais il faut reconnaitre qu’Alyssa a eu le mérite de booster vers le haut la formation. Et, rendons à Cesar ce qui est à Cesar, Alyssa met en valeur par exemple les soli de Michael Amott, sachant donc rendre honneur aux autres musiciens, ne ramenant pas toute la couverture à elle seule.
Arch Enemy a donc mis le public du metaldays dans sa poche, c’est sans appel et le groupe le mérite largement.



Avant la fin du set de Arch Enemy je vais faire un tour à la seconde scène pour ARCHGOAT, simple curiosité de ma part.
Le trio Finlandais nous propose une messe noire sinistre à souhait, du black métal ritualiste avec croix renversées et capuchons.
Depuis plus de vingt ans ce groupe formé par Ritual Butcherer et lord Angelslayer déverse sa haine et son sang noir sans répit avec un seul message « hail satan, hail lucifer ». Le trio poursuit sa route initiale entre riffs basiques, voix caverneuse et mid-tempos occultes en diable. Avec une ambiance noire comme de l’encre le groupe nous emmène en enfer avec un matraquage en règle. Au final je fût bien content d’apprécier ces quelques titres atteignant les sommets du genre. Pour black-métalleux avertis, mais trio maléfique qui ne peut laisser indifférent.



A 1heure du matin la grande scène s’éclaire une ultime fois pour la journée afin d’accueillir UNEARTH.
Ceux de Boston aux Etats-Unis vont nous réveiller avec un métalcore puissant et énergique, toujours en forme après 17 ans de carrière et la sortie de 6 albums « full-lenght ».
Bénéficiant d’une popularité sans faille durant les années 2000, les ricains ont su garder le cap et nous proposent des prestations puissantes et mélodiques qui mettent tout le monde d’accord. Ce soir malgré l’heure tardive le public du metaldays n’est pas parti se coucher sous les tentes, mais a su installer une ambiance de « ouf » dans le pit en recevant à tir tendu les « brûlots » propulsés par une formation en peine possession de ses moyens. Unearth tire toujours son épingle du jeu dans la meute metalcore avec un frontman restant bien dans ses « growls » et des musiciens qui assurent sec sans trop s’aventurer dans des mélodies faciles.
Alors nous avons aimé, même ceux qui rejettent à priori tout ce qui porte les noms de metalcore/deathcore », convaincant donc !


Il aura fallu attendre deux heures du matin pour aller apprécier encore une fois un show des Grecs de ROTTING CHRIST, mais quand on aime on ne compte pas et la fatigue de la journée se met en « stand-by » pour la prestation de ce groupe exceptionnel qui aurait mérité lui aussi de jouer sur la mainstage. Et le public en nombre se serre, se bouscule contre les barrières de sécurité afin de ne pas perdre une miette de ce concert orchestré par le très inspiré Sakis Tolis et son frère Themis, accompagnés part un autre guitariste, Georges et un bassiste, Van Ace.
ROTTING CHRIST nous invite au voyage occulte, mystique et tribal dans cette nuit Slovène. Leur dernier album en date « Kata Ton Daimona Eaytoy » paru en 2013 nous invitant à un certain retour aux sources dans une noirceur palpable. Sakis est toujours en recherche de spiritualité et nous fait profiter ce soir d’un set dark-metal, black-metal si vous voulez, mais faisons fi des étiquettes, la musique de ceux d’Athènes étant autre chose, elle est hors du temps et de l’espace tout simplement.
Tout commence avec le titre « 666 », le ton de la soirée est donné. Et puis nous allons nous imprégner du dernier opus avec notamment « P’unchaw, Kachun Tuta Kachun », « In Yumen Xibalba » et « Grandis Spiritus Diavolos ». Voyage dans le passé aussi avec « King Of A Stellar War », Athanati Este », « The Sign Of Evil Existence », « Societa Satanas ». Les Albums « A Dead Poem » et « The Sleep Of The Angel » fruits de la collaboration passagère avec Xy le claviériste de Samaël ne furent pas abordés.
Et puis le rappel inévitable eu lieu avec le fameux « Non Serviam » de 1994. Le public à 3 heures du matin ne veut plus quitter les lieux, il en redemande encore et encore.
Les lumières se rallument enfin, l’espoir d’un nouveau rappel se fait jour, mais le groupe revient devant nous pour nous remercier tout simplement. Groupe à voir et revoir en live jusqu’à plus soif, nous voulons nous abreuver sans fin de leurs compositions et de la présence hors-normes de ces musiciens, amen !

CHRONIQUES BENE

Quatrième journée au Metaldays et ce sera la plus courte. Journée la moins intéressante me concernant, on en a profité pour récupérer un peu le matin et en début d’après-midi.
J’ai également deux interviews au programme : BETRAYING THE MARTYRS et PROFANE OMEN.
La journée commence avec les français de BROKEN MIRRORS. Ayant assisté à leur interview par Black.Roger, j’ai hâte de découvrir ce qu’ils ont à proposer sur scène.
Le set est déjà commencé à mon arrivée, mais j’en vois et j’en entends suffisamment pour me faire une idée. Le public semble y trouver son compte et répond favorablement aux sollicitations du groupe.
Musicalement c’est efficace, dommage qu’à nouveau le son sur la seconde scène ne soit pas mieux géré, les basses étant selon moi de nouveau bien trop présentes me remuant le tripes par les lourdes vibrations.
Le bilan est positif malgré tout, le groupe a de belles compositions et une belle énergie. A revoir dans de meilleures conditions de son.
Direction la mainstage maintenant pour assister au set des finlandais de PROFANE OMEN. J’ai eu l’opportunité de les voir il y a quelques mois en première partie de leurs confrères de FINNTROLL et j’avais adoré leur concert.
Et force et de constater, dès les premières notes qu’à nouveau je ne serai pas déçue. Jules au chant est une pile d’énergie et occupe chaque parcelle de la scène.
Le groupe se donne à fond et c’est franchement tout à leur honneur vu la chaleur qui assomme le festival aujourd’hui. Rien de neuf sous le soleil mais ça fait le boulot et ça le fait bien. Après quinze ans d’existence les finlandais ont toujours la patate et cette envie de jouer ensemble. Et leur bonne humeur est communicative puisque la foule se rassemble de plus en plus vers la scène pour se joindre à la fête.
Je me rends à l’espace presse pour avoir des informations quant aux interviews, je prends quelques clichés, je loupe CROWBAR (si si …) et me rend ensuite au prochain concert pour voir les norvégiens de VREID.
Bon…je n’ai pas du tout accroché… Leur Black’n’roll en a séduit plus d’un dans le public mais moi pas vraiment… Le groupe ne bouge pas, et même si musicalement je leur reconnais des qualités techniques et de composition, ce n’est vraiment pas ma tasse de thé.
Affaire de goût. Si j’en ai l’occasion, je retournerai quand même les voir en live histoire de voir si je reste sur mon premier avis ou si j’en change.
Direction le secteur VIP/Backstage où Black.Roger et moi-même avons rendez-vous avec les BETRAYING THE MARTYRS pour une petite interview que vous pourrez bientôt lire. Un grand merci à eux pour leur accueil, leur gentillesse, leur temps et les selfies (oui je clôture mes interviews par un/des selfie(s)). Merci aussi à Jamie leur tour manager qui a permis de planifier tout ça.
Nous enchainons avec une autre interview, celle de Profane Omen que tu pourras lire après celle de BETRAYING THE MARTYRS (une chose à la fois hein !). Merci à eux également pour leur bonne humeur et leur attitude bien sympathique.
Direction maintenant la mainstage pour assister au show d’HARDCORE SUPERSTAR. Une chose est sure : les suédois dépotent ! Même si on n’est pas fan du genre leur dynamisme est communicatif et on se retrouve pris dans leur folie.
Les slammeurs s’en donnent à cœur joie et ça secoue sévère dans le public. Musicalement ce n’est pas ma came mais je me surprends à headbanguer et à sourire devant leur prestation. Même si je ne suis pas fan, j’ai tout de même passé un très bon moment dans l’univers HARDCORE SUPERSTAR.
Direction la second stage pour assister au show des BETRAYING THE MARTYRS. J’ai pu les voir en live il y a quelques mois au Luxembourg.
Je n’étais pas une grande fan de metalcore/deathcore, mais suite à plusieurs concerts et quelques groupes qui ont su se démarquer d’un genre ou la plupart des groupes ne sont que les clones les uns des autres, je dois avouer que j’ai appris à apprécier ces groupes qui réussissent à développer leur touche personnelle.
BETRAYING THE MARTYRS fait partie de ces groupes, et au-delà d’un capital sympathie au taquet, d’une qualité dans les compositions, le groupe sait comment te retourner une scène et un public.
C’est donc avec une certaine impatience que j’attends le début du show, d’autant que lors de l’interview on (je ne citerai pas de nom !) m’a dit « tu verras y’aura des lights » (Lors de leur concerts au Luxembourg les lights étaient relativement rares).
Bon les gars… Faut que je vous dise… Les strobos ce n’est pas des vraies lights et ça rend les photographes nerveux (rires). Mais j’avoue que c’était bien mieux que la dernière fois où je les ai vus !
Que dire ? Les BTM ont mis le feu au Metaldays ni plus ni moins. Un Victor survolté (clavier), un Aaron toujours aussi impressionnant, Lucas et Baptiste aux guitares et Valentin à la basse se démènent.
Le public est tout aussi déchainé et reprend la fameuse reprise « Let it go » en cœur. Et visiblement ils étaient attendus vu l’accueil qui leur a été réservé.
Une performance à la hauteur de leur réputation ! Ils sont en concert en septembre près de chez moi et autant te dire que je vais y aller !
Dernier groupe du jour: ARCH ENEMY. J’avais pu les voir (de loin) au Hellfest mais je n’avais jamais eu l’opportunité de les shooter. C’est chose faite ce soir !
Alissa White-Gluz est une frontwoman de compétition. Je crois pouvoir affirmer sans aucune hésitation que de tous les groupes que j’ai pu voir avec une femme à leur tête, ARCH ENEMY possède la chanteuse la plus charismatique qu’il soit.
Au-delà de sa prestance inconditionnelle, elle présente des qualités vocales indéniables que ce soit en chant clair ou en growl.
Ses cheveux bleus volent dans tous les sens et on ne voit quasiment qu’elle, pour le plus grand plaisir des messieurs !
Musicalement rien à redire, l’alchimie Loomis-Amott fonctionne à merveille.
Une belle façon de clôturer cette (courte) journée ! Rendez-vous demain pour la cinquième et (déjà) dernière journée ! Stay tuned !


Pour BLACK.ROGER la journée fut chargée, mais quelle journée !
Allons vite sombrer dans les bras de Morphée afin de se retaper pour le dernier jour du metaldays demain Vendredi, une journée qui s’annonce déjà imposante vu l’affiche.






 


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