CHRONIQUES DE CONCERTS

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SUM 41
Avec : Sum 41
Date du concert : 22-02-2017  
Lieu : Le Zénith - Paris [ 75 ]  
Affluence : NC  
Contact organisateur : https://www.livenation.fr/  
Interview :  
   
Date de la chronique : 13 mars 2017 - Chroniqueur : ceresdenis - Photographe : TRASFI Denis http://ceresdenis.weebly.com/  


Un gros show mais terni par des problèmes techniques …

Les fans de SUM 41 attendaient avec impatience le retour de leur groupe favoris car nombreux sont ceux qui les avaient loupé au Trianon l’année passée. Les canadiens menés par Deryck Whibley ont choisi le Zénith de Paris afin de ravir leurs fans le 22 février 2017. La soirée commence par 2 groupes « Hollerado » et « Paerish » pour chauffer la salle. N’ayant pas pu assister à leurs représentations (l’accréditation n’était que pour SUM 41) et par honnêteté envers les groupes, je n’écrirai pas de lignes sur leurs prestations respectives.

Ca y est, nous pouvons rentrer. Les photographes accèdent au Pit. Nous voilà devant un immense drap blanc cachant la scène. Derrières nous le public est prêt et attend SUM 41 avec impatience. C’est parti, le rideau tombe. Le groupe investit la scène. Le show commence !!! Malheureusement les galères commencent. Le son est médiocre. Les basses sont trop puissantes et engloutissent tout. Le chant est parfois inaudible et oblige notre chanteur à limite hurler lors des passages plus appuyés. Pour rajouter à ce tableau, les lumières sont plus que hasardeuses. Lors de la première chanson « A Murder of Crows », Deryck Whibley est obligé d’arrêter pour signaler qu’il ne voit rien. On a l’impression que la rampe d’éclairage frontale vient de lâcher…

Mais quand on s’appelle SUM 41, de renommée internationale et que l’on est venu faire la fête à Paris, on ne s’arrête pas à ça ! En vrai pro il recommence la chanson et assure un gros show pendant plus de 2 heures. Avec un décor en arrière-plan rouge et noir gratifié de la croix de leur dernier album « 13 Voices », le groupe enchaïne les morceaux « Fake My Own Death » puis « The Hell Song », pour prouver qu’ils sont bien là. La fosse commence à bouger. Les morceaux s’enchainent avec notamment « Screaming Bloody Murder », « War », « Motivation ». Nous avons droit également à une reprise d’Iron Maiden avec « Trooper ». A la fin de « Makes No Difference », Deryck Whibley descend dans la fosse du Zénith où une petite scène provisoire y était installé. Au cœur de son public il a pu communier avec le morceau « With Me ». Les fans sont ravis. Ils font partis d’un ensemble où SUM 41 en est le noyau. Les lampes torches des portables s’illuminent partout dans ce Zénith immense mais devenu si intimiste… alchimie opère… Et puis s’est reparti sur des chapeaux de roues avec « God Save Us All (Death to POP) ». Puis les morceaaux s’enchainent encore et encore avec également une reprise de Queen. Des solos de batteries, de basses et de grat’. Tout le monde y va de sa technicité. De très bons musiciens et showmen !
Après un premier rappel, il est maintenant temps d’une petite pause dans l’univers punk avec un morceau joué seul au piano. L’émotion se fait sentir lorsque notre chanteur joue « Crash ». Il est en osmose avec son public. Ils en profitent pour lancer encore et toujours d’autres morceaux comme « Pieces », « Welcome to Hell » et « Fat Lip ». Le noir investie la salle. Le public ne veut pas en rester là et en redemande encore. C’est alors que les compères de SUM 41 reviennent sur le plateau coiffés de perruques pour nous jouer « Pain for Pleasure ». Cela démontre leur humour et la confiance en leur public.

Voilà, cela fait maintenant 2 heures que le Zénith est en ébullition. SUM 41 ont malgré tout assuré un gros show devant ce public parisien malgré les problèmes techniques. Cela prouve le professionnalisme de SUM 41 et leur besoin de faire de la musique.

Merci à Live Nation et au Zénith pour l’accréditation et leur accueil.

Setlist

1. A Murder of Crows

2. Fake My Own Death

3. The Hell Song

4. Over My Head (Better Off Dead)

5. Goddamn I'm Dead Again

6. Underclass Hero

7. Screaming Bloody Murder

8. There Will Be Blood

9. War

10. Motivation

11. The Trooper (reprise d'Iron Maiden)

12. Grab the Devil by the Horns and Fuck Him Up the Ass

13. We're All to Blame

14. Walking Disaster

15. Makes No Difference

16. With Me

17. God Save Us All (Death to POP) (solo de batterie de Frank Zumo)

18. No Reason

19. We Will Rock You (reprise de Queen)

20. Still Waiting

21. In Too Deep

Rappel 1 :

22. Crash

23. Pieces

24. Welcome to Hell

25. Fat Lip

Rappel 2 :

26. Pain for Pleasure







 


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