CHRONIQUES DE CONCERTS

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THE CASUALTIES
Avec : The casualties, bad nasty
Date du concert : 23-01-2019  
Lieu : Rock n'Eat Live - Lyon [ 69 ]  
Affluence : NC  
Contact organisateur :  
Interview :  
   
Date de la chronique : 25 janvier 2019 - Chroniqueur : Black.Roger - Photographe : Black.Roger http://black-roger.tumblr.com/  


Et une légende du punk, une, au Rock n’Eat de Lyon ce mercredi soir 23 Janvier. Il s’agissait bien entendu de THE CASUALTIES de New-York qui venait voir s’il y avait toujours une bonne « raïa » keupone dans la capitale des Gaule. Mais il n’est pas venu seul et en ouverture ce sont nos amis franco/suisses de BAD NASTY qui nous ont introduits dans cette soirée de zonards, rebelles et vauriens de tous poils et ce n’était pas du flan !

BAD NASTY et son « street punk » n’est pas né de la dernière pluie punk (fondé en 1999) et nous le fait savoir d’entrée de jeu avec ses compositions old-school certes mais bien dans la tradition, respect !
Le public déjà en nombre adhère progressivement aux envois et à l’attitude du groupe, la soirée s’annonce donc bien chaude pour la suite, le pogo commençant à démanger les crêtes de certains participants. Bad Nasty reste fidèle à ses racines, cela se sent, cela se ressent et on aime tout simplement.
Set-list en photo.

THE CASUALTIES a entamé le 11 Janvier dernier une monstrueuse tournée intitulée « written in blood tour » qui va les emmener à travers toute l’Europe avec un arrêt au Rock n’Eat ce 23 Janvier évidemment pour le bonheur de tout un nombreux public venu dans l’underground du quai Arloing.
On ne présente plus The Casualties actif depuis 1990 et qui a sous le coude un nombre impressionnant d’enregistrement, notamment le petit dernier de 2018 « written in blood » objet de cette tournée vous l’aurez compris.
Autant vous le dire tout de suite j’étais impatient de revoir le combo après le changement de chanteur, exit Jorge Herrera, welcome David Rodriguez (Starving Wolves). Pas ou peu de différence ma foi, le groupe est toujours au nord de la rupture dans un chaos musical et verbal insensé, et c’est cela que l’on aime chez ces « ricains ».
Leur set démarre avec « feed off fear » et son côté thrash qui met tout le monde d’accord et bien entendu nous dégustons « for the punx », « 1312 » (ACAM, tous les flics sont des batards), le rageur nouveau titre pur punk « demolition », « casualties army », « ya basta » (en Espagnol) etc, etc, et au final en rappel on nous offre le fameux « we are all we have » et son refrain fédérateur reprit par un public en nage (en rage ?). Ce public qui a instauré une ambiance de dingue dans les lieux, incroyable, les murs du Rock n’Eat s’en souviennent encore, le sol inondé de boissons houblonnées aussi.
Set-list en photo.

Que dire de plus ? Rien en fait, les présents agités ont dégusté dans tous les sens du terme, les absents (il n’y en avait peu) peuvent s’arracher leurs piercings car ils ont manqué quelque chose ! Quelle soirée mes amis, à marquer d’une pierre blanche je crois. Merci au Rock n’Eat pour l’accueil et aux musiciens pour avoir assuré comme des bêtes (de scène).






 


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