CHRONIQUES DE CONCERTS

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ATOMIC TRIP
Avec : Atomictrip, witchgrove
Date du concert : 12-04-2019  
Lieu : Le Farmer - Lyon [ 69 ]  
Affluence : NC  
Contact organisateur : https://www.facebook.com/lyonstonerdoom/  
Interview :  
   
Date de la chronique : 17 avril 2019 - Chroniqueur : arthur.silvestrini - Photographe : Arthur Silvestrini https://www.facebook.com/arthursilvestriniphoto/  


20h45, les membres de Witchgrove se rapprochent de la scène, l’adrénaline est au rendez-vous, un ami montre son bras tatoué en cours de cicatrisation, on prépare les pintes d’eau ou de bières… et, ça y est, il est temps de tout donner ! 2 voix, Olaf et Judith, l’un à la basse, l’autre à la guitare, Galaad à la batterie, autant vous dire que ce groupe lyonnais de doom sludge occulte a fêté dignement la sortie de son EP « Goetic Songs » ! Aux influences variées, entre stoner et rythmes plus lents de doom, de l’énergie, de la joie, du bonheur, une belle intensité se lisait sur chacun des visages ce vendredi 12 avril. De quoi offrir un public tout feu tout flamme (et en nage) à Atomic Trip, qui, eux aussi, portent magnifiquement bien leur nom, de l’excellent doom comme on aime !

Car eux aussi fêtent une belle sortie, leur 2ème album ! La quantité ne fait pas la qualité, comme dirait l’autre, donc on reste sur un principe simple, mais efficace. Vous connaissiez leur premier album Strike #1, composé de Bomb #1 et Bomb #2 ? Voici Strike #2 avec… Bomb #3 et Bomb #4 ! Mais revenons au concert. Witchgrove a chauffé la place, Grom Tattooer, Jean-Claude VanDoom et Gary McDoom s’installent, la lumière tombe, on pose une lanterne à la lueur émeraude, et une autre, orange, pour la suite. Les premières notes montent, l’obscurité règne, le voyage musical commence, ou plutôt le voyage atomique. Un sacré challenge pour faire des photos, mais, pour avoir écouter en boucle le vinyle, je n’ai pas été déçu de leur performance en live. Tout rappelle leur nom, autant l’ambiance sonore, que l’obscurité ambiante entrecoupée de flashs nucléaires et, après une tape sur l’épaule de la part du guitariste, on ressort des étoiles pleins les yeux, et avec des acouphènes.






 


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