LECKS INC.

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Mise en ligne le : 09 octobre 2018  | Intervieweur : Pounk | Traducteur :

INTERVIEW francaise - pavillon 666 - webzine metal rock
1. Aujourd'hui rencontre avec LECKS INC., bienvenue sur P666! Tout d'abord pourriez-vous vous présenter un peu pour ceux qui nous suivent?



Lecks : Bonjour à toi l’ami et merci de nous recevoir aujourd’hui. Nous sommes le groupe LECKS Inc. Formé en Septembre 2009 pour être exact, dans la région PACA, et nous oscillions sur des univers metal divers à partir d’une base Industriel. Mais pas que… Fort de trois albums, deux EP’s, de huit clips et de nombreux concerts dans près de 13 pays, l’année 2018 nous aura même permis de nous hisser sur la scène du Hellfest.



2. Vos compositions, notamment sur cet opus, mais globalement dans votre univers musical, sont vraiment très éclectiques est-ce dû à vos influences ou c'est une volonté qui s'est instaurée dès les débuts du groupe?



Lecks : Je pense que nous évoluons constamment, nos centres d’intérêts et nos activités personnels ne cessent de nous offrir de nouvelles compétences et opportunités. Cela nous permet d’affiner et d’élargir à la fois nos goûts dans le temps. De plus, les influences sont migrantes à mesure des découvertes où simplement des envies de l’instant. Il faut rester à l’écoute de ses émotions, et faire ce qui nous plait même face à une adversité qui trouvera toujours à redire.



A titre personnel, j’aime beaucoup l’évolution du travail de Bowie, Manson, Hagen ou encoreTownsend qui n’ont eu de cesse de se réinventer… ne s’enfermant jamais dans une seule et unique vision de ce que pourrais être la musique. Et je pense sincèrement que cela a fait germer en moi depuis toujours cette volonté d’enrichir nos morceaux de passages plus progressifs, plus aériens, plus ouvert à tous ce qui passe dans l’ère du temps ou non… car il y a un désir de se renouveler, puisant sa variété et sa richesse à mesure de nos collaborations et surtout de ne pas proposer une seule et même recette.


> 3. En parlant de vos morceaux, comment se passe la composition? Qui fait quoi?



Lecks : Les compositions sont écrites à ce jour exclusivement par mes soins à l’instinct, car je ne suis en rien un professionnel de la musique. J’ai une expérience en école de musique, en groupe ou au conservatoire… mais encore une fois, ce n’est pas mon métier. Alors, je n’hésite pas à m’entourer de personnes plus compétentes et d’apprendre à leurs contacts, d’être à l’écoute de leurs conseils et à discuter de mes idées. Je travaille également les arrangements avec d’autres artistes extérieurs au groupe sous forme de collaboration ou de guest. Que ce soit à distance via internet, ou en les invitants à nous rejoindre en studio.


> 4. Toujours au niveau des inspirations, pour les thématiques abordées ça vient d'où?



Lecks : Avant, sur les premiers albums… je m’inspirais de ma vie et de mes expériences. Des ombres, des maux et des blessures que nous portons tous en nous…

Et toujours dans un souci de me renouveler dans mes travaux, aujourd’hui je traite du quotidien ou même de futur d’anticipation comme pour le nouvel album « A.L.I.E.N. » à paraitre en 2019. Chaque chanson traite d’un sujet divers, et je n’en reste pas moins influencé par mes lectures… et mes aspirations, comme de croire à une vie extraterrestre par exemple ou encore que la fin de notre civilisation, voir de l’humanité est inéluctable.



> 5. Qu'est ce que cela vous fait de détenir à présent le morceau le plus court au monde?



Lecks : Pour être honnête, pas grand-chose (rire)… Cela nous a fait néanmoins plaisir de détrôner Napalm Death. A la base il s’agissait plus d’un trip personnel, un challenge pour mesurer nos compétences à pouvoir repousser les limites et être raccord avec le titre de l’album. Mais il n’est pas exclus qu’à l’avenir nous ne décidions pas d’abattre une nouveau record…



> 6. L'album étant déjà sorti actuellement, les retours sont plutôt positifs? Comment a-t-il été accueilli?



Lecks : Les retours sont tous positifs sans exception, allant jusqu’à avoir une chronique dans le magazine ROCK HARD. Et j'avoue que c'était une de mes inquiétudes, car j’ai passé 2 ans à travailler sur l’enregistrement de cet album et à réunir tous les invités de l’album… ce fut un long et fastidieux travail. Celui ci s’est fait attendre et désirer avec près d’un an de retard sur sa sortie, mais nous a propulsés directement à sa sortie sur l’une des scènes du Hellfest !!! Donc, je peux supposer sans prétention que l’album ne doit pas être trop mal (Rire).



> 7. Côté concerts quelle est votre actu pour cette fin d'année? Des grosses dates en perspective?



Lecks : Nous terminons l’année 2018 avec une dizaine de dates dans le Sud, Sud-Est de la France qui est notre zone de confort. Vous nous retrouverez sur Marseille, Aix en Provence, Toulon, Antibes, Frejus, Nice, ect… ce qui signe la fin de notre tournée « Die Another Day Tour 2018 ». On enchaine dès le 3 Janvier sur notre prochaine tournée européenne « World’s End Tour 2019 », constitué de près d’une cinquantaine de dates dans plus d’une dizaine de pays d’Europe pour faire la promotion de notre 4eme album. Nous débuterons cette nouvelle année en Belgique en ouverture de Septicflesh, ce qui est un nouveau pallier pour nous.




> 8. Et pour ce qui est du reste, clips, merch, enregistrements futurs, etc. des projets?



Lecks : Comme je le disais précédemment, le 4eme album est en cours de finition pour une sortie l’an prochain. On prévoit également une série d’EP’s dans l’attente d’un double album qui est actuellement en chantier avec de gros invités comme Tony Dolan de Venom ou Blaze Bayley l’ex chanteur d’Iron Maiden pour ne citer qu’eux… une 4eme bière LECKS Inc. Est en chantier, ainsi que notre 1er marque de vin, de nouveaux clips sont déjà tournés et en cours de montage… l’aventure continue pour nous après 10 ans d’existence.



> 9. Globalement la place qu'occupe le metal en France ainsi que l'investissement des acteurs de cette scène vous en pensez quoi?



Lecks : Je pense que le Rock/Metal se retrouve aujourd’hui à bout de souffle, alors que la production n'a jamais été aussi riche et de qualité que ces dernières années.

Le metal occupe toujours une place underground en France, une communauté de « niche » désunis et il manque à ce jour une véritable émulsion pour relever la tête… surtout quant on voit l’engouement et les tarifs des salles pour aller voir des septuagénaires ou des covers band qui remplissent des zéniths, au détriment de la valorisation d’une nouvelle génération.

On peut se dire alors sans artifices que la scène Rock/metal est stagnante faisant office de musé, se reposant sur des acquis d’un autre temps dont l’avant-gardisme et la contre-culture n’est plus que chimère dans une société de normalisation et de consommation de masse. Je pense avoir tout dit quand on sait que l’on trouve des T-shirts des Ramones, de Motorhead, de Metallica, de Nirvana et tellement d’autres chez H&M.

Les groupes metal, hors pointures internationales, se font assez discrets sur la scène Française par une réelle difficulté d’accès à celles-ci… difficulté qui s’accroit d’année en année. Et ce majoritairement dû par la fermeture massive des bars en villes et des salles modeste qui permettrait encore d’avoir une visibilité non négligeable à l’ascension de la notoriété d’un groupe… et donc à la création d’une fan base.



Mais il existe également un changement des mentalités, sans compter une pléthore de divertissements à porté de main à tout instant… qui entraine un désintérêt et un manque flagrant de fréquentation du public… quand même les têtes d’affiche peine à remplir les salles, que le gouvernement en plus de couper les subventions, multiplie les fermetures administrative et cela nuis considérablement à la culture au sens général. Le fond du problème est que si les groupes de Rock/Metal n’ont plus nulle part où jouer aussi grand ou petit soit il, car nous n’avons pas tous la carrure de remplir des stades hors de prix… alors à l’image de l’Australie, la scène alternative s’étouffera jusqu’à sa mort dans son propre sang coagulé, incapable de réinjecté du sang neuf.



Cela fait 15 ans que je suis un acteur de la scène metal de ma région, en tant que programmateur, booker, vigil, musicien, ect… et j’ai pus voir la dégradation et le déclin persistant du milieu… milieu dans lequel un bon nombres d’acteurs se tournent les pouces dans l’attente qu’une âme charitable veuille bien les faire jouer, quand ceux-ci non pas en plus des prétentions hors normes.



Je travaille actuellement sur un fest sur Bordeaux pour l’an prochain, le «Vault Of Metal » qui fera sa première édition au Salem le haillan. Je reçois des demandes constantes de groupes pour être programmé… mais dès que je demande un peu d’implication en échange, que ce soit pour la communication par exemple ou pour faire de la prévente afin d’être en mesure de payer ou défrayer un tant soit peu les artistes. On m’envoi sur les roses… Alors, que je suis logé à la même enseigne moi-même en tant que musicien et que je doive multiplier les casquettes et les risques pour tenter de faire émerger ce projet, et au lieu de se faire soutenir dans une cause commune… chacun essai d’enfoncer l’autre pour avoir une plus grosse part mais sans pour autant avoir envie de s’investir. Et je ne compte plus les groupes que j’ai programmé contre des promesses de dates retours qui n’ont jamais eu lieu… donc avant de changer le monde, je pense qu’il y a un sérieux problème de mentalité et d’égocentrisme à revoir. En attendant, je tente de montrer l’exemple et j’essaie d’aider d’autres acteurs motivés autour de moi…




>
> 10. Merci d'avoir pris le temps de répondre à toutes ces questions! Pour terminer auriez-vous un message à faire passer, d'éventuels remerciements, une dédicace, un coup de gueule à passer?



Lecks : Mesdames et Messieurs… aux plaisirs de vous rencontrer, lors de nos concerts et en attendant je vous souhaite à tous la bienvenue dans notre univers « LECKSIEN » !!! Ce n’est qu’une idée, mais il est temps de se sortir les doigts du cul avant la mort de la scène expérimentale et alternative



Aujourd'hui rencontre avec LECKS INC., bienvenue sur P666! Tout d'abord pourriez-vous vous présenter un peu pour ceux qui nous suivent?



Lecks : Bonjour à toi l’ami et merci de nous recevoir aujourd’hui. Nous sommes le groupe LECKS Inc. Formé en Septembre 2009 pour être exact, dans la région PACA, et nous oscillions sur des univers metal divers à partir d’une base Industriel. Mais pas que… Fort de trois albums, deux EP’s, de huit clips et de nombreux concerts dans près de 13 pays, l’année 2018 nous aura même permis de nous hisser sur la scène du Hellfest.



2. Vos compositions, notamment sur cet opus, mais globalement dans votre univers musical, sont vraiment très éclectiques est-ce dû à vos influences ou c'est une volonté qui s'est instaurée dès les débuts du groupe?



Lecks : Je pense que nous évoluons constamment, nos centres d’intérêts et nos activités personnels ne cessent de nous offrir de nouvelles compétences et opportunités. Cela nous permet d’affiner et d’élargir à la fois nos goûts dans le temps. De plus, les influences sont migrantes à mesure des découvertes où simplement des envies de l’instant. Il faut rester à l’écoute de ses émotions, et faire ce qui nous plait même face à une adversité qui trouvera toujours à redire.



A titre personnel, j’aime beaucoup l’évolution du travail de Bowie, Manson, Hagen ou encoreTownsend qui n’ont eu de cesse de se réinventer… ne s’enfermant jamais dans une seule et unique vision de ce que pourrais être la musique. Et je pense sincèrement que cela a fait germer en moi depuis toujours cette volonté d’enrichir nos morceaux de passages plus progressifs, plus aériens, plus ouvert à tous ce qui passe dans l’ère du temps ou non… car il y a un désir de se renouveler, puisant sa variété et sa richesse à mesure de nos collaborations et surtout de ne pas proposer une seule et même recette.


> 3. En parlant de vos morceaux, comment se passe la composition? Qui fait quoi?



Lecks : Les compositions sont écrites à ce jour exclusivement par mes soins à l’instinct, car je ne suis en rien un professionnel de la musique. J’ai une expérience en école de musique, en groupe ou au conservatoire… mais encore une fois, ce n’est pas mon métier. Alors, je n’hésite pas à m’entourer de personnes plus compétentes et d’apprendre à leurs contacts, d’être à l’écoute de leurs conseils et à discuter de mes idées. Je travaille également les arrangements avec d’autres artistes extérieurs au groupe sous forme de collaboration ou de guest. Que ce soit à distance via internet, ou en les invitants à nous rejoindre en studio.


> 4. Toujours au niveau des inspirations, pour les thématiques abordées ça vient d'où?



Lecks : Avant, sur les premiers albums… je m’inspirais de ma vie et de mes expériences. Des ombres, des maux et des blessures que nous portons tous en nous…

Et toujours dans un souci de me renouveler dans mes travaux, aujourd’hui je traite du quotidien ou même de futur d’anticipation comme pour le nouvel album « A.L.I.E.N. » à paraitre en 2019. Chaque chanson traite d’un sujet divers, et je n’en reste pas moins influencé par mes lectures… et mes aspirations, comme de croire à une vie extraterrestre par exemple ou encore que la fin de notre civilisation, voir de l’humanité est inéluctable.



> 5. Qu'est ce que cela vous fait de détenir à présent le morceau le plus court au monde?



Lecks : Pour être honnête, pas grand-chose (rire)… Cela nous a fait néanmoins plaisir de détrôner Napalm Death. A la base il s’agissait plus d’un trip personnel, un challenge pour mesurer nos compétences à pouvoir repousser les limites et être raccord avec le titre de l’album. Mais il n’est pas exclus qu’à l’avenir nous ne décidions pas d’abattre une nouveau record…



> 6. L'album étant déjà sorti actuellement, les retours sont plutôt positifs? Comment a-t-il été accueilli?



Lecks : Les retours sont tous positifs sans exception, allant jusqu’à avoir une chronique dans le magazine ROCK HARD. Et j'avoue que c'était une de mes inquiétudes, car j’ai passé 2 ans à travailler sur l’enregistrement de cet album et à réunir tous les invités de l’album… ce fut un long et fastidieux travail. Celui ci s’est fait attendre et désirer avec près d’un an de retard sur sa sortie, mais nous a propulsés directement à sa sortie sur l’une des scènes du Hellfest !!! Donc, je peux supposer sans prétention que l’album ne doit pas être trop mal (Rire).



> 7. Côté concerts quelle est votre actu pour cette fin d'année? Des grosses dates en perspective?



Lecks : Nous terminons l’année 2018 avec une dizaine de dates dans le Sud, Sud-Est de la France qui est notre zone de confort. Vous nous retrouverez sur Marseille, Aix en Provence, Toulon, Antibes, Frejus, Nice, ect… ce qui signe la fin de notre tournée « Die Another Day Tour 2018 ». On enchaine dès le 3 Janvier sur notre prochaine tournée européenne « World’s End Tour 2019 », constitué de près d’une cinquantaine de dates dans plus d’une dizaine de pays d’Europe pour faire la promotion de notre 4eme album. Nous débuterons cette nouvelle année en Belgique en ouverture de Septicflesh, ce qui est un nouveau pallier pour nous.




> 8. Et pour ce qui est du reste, clips, merch, enregistrements futurs, etc. des projets?



Lecks : Comme je le disais précédemment, le 4eme album est en cours de finition pour une sortie l’an prochain. On prévoit également une série d’EP’s dans l’attente d’un double album qui est actuellement en chantier avec de gros invités comme Tony Dolan de Venom ou Blaze Bayley l’ex chanteur d’Iron Maiden pour ne citer qu’eux… une 4eme bière LECKS Inc. Est en chantier, ainsi que notre 1er marque de vin, de nouveaux clips sont déjà tournés et en cours de montage… l’aventure continue pour nous après 10 ans d’existence.



> 9. Globalement la place qu'occupe le metal en France ainsi que l'investissement des acteurs de cette scène vous en pensez quoi?



Lecks : Je pense que le Rock/Metal se retrouve aujourd’hui à bout de souffle, alors que la production n'a jamais été aussi riche et de qualité que ces dernières années.

Le metal occupe toujours une place underground en France, une communauté de « niche » désunis et il manque à ce jour une véritable émulsion pour relever la tête… surtout quant on voit l’engouement et les tarifs des salles pour aller voir des septuagénaires ou des covers band qui remplissent des zéniths, au détriment de la valorisation d’une nouvelle génération.

On peut se dire alors sans artifices que la scène Rock/metal est stagnante faisant office de musé, se reposant sur des acquis d’un autre temps dont l’avant-gardisme et la contre-culture n’est plus que chimère dans une société de normalisation et de consommation de masse. Je pense avoir tout dit quand on sait que l’on trouve des T-shirts des Ramones, de Motorhead, de Metallica, de Nirvana et tellement d’autres chez H&M.

Les groupes metal, hors pointures internationales, se font assez discrets sur la scène Française par une réelle difficulté d’accès à celles-ci… difficulté qui s’accroit d’année en année. Et ce majoritairement dû par la fermeture massive des bars en villes et des salles modeste qui permettrait encore d’avoir une visibilité non négligeable à l’ascension de la notoriété d’un groupe… et donc à la création d’une fan base.



Mais il existe également un changement des mentalités, sans compter une pléthore de divertissements à porté de main à tout instant… qui entraine un désintérêt et un manque flagrant de fréquentation du public… quand même les têtes d’affiche peine à remplir les salles, que le gouvernement en plus de couper les subventions, multiplie les fermetures administrative et cela nuis considérablement à la culture au sens général. Le fond du problème est que si les groupes de Rock/Metal n’ont plus nulle part où jouer aussi grand ou petit soit il, car nous n’avons pas tous la carrure de remplir des stades hors de prix… alors à l’image de l’Australie, la scène alternative s’étouffera jusqu’à sa mort dans son propre sang coagulé, incapable de réinjecté du sang neuf.



Cela fait 15 ans que je suis un acteur de la scène metal de ma région, en tant que programmateur, booker, vigil, musicien, ect… et j’ai pus voir la dégradation et le déclin persistant du milieu… milieu dans lequel un bon nombres d’acteurs se tournent les pouces dans l’attente qu’une âme charitable veuille bien les faire jouer, quand ceux-ci non pas en plus des prétentions hors normes.



Je travaille actuellement sur un fest sur Bordeaux pour l’an prochain, le «Vault Of Metal » qui fera sa première édition au Salem le haillan. Je reçois des demandes constantes de groupes pour être programmé… mais dès que je demande un peu d’implication en échange, que ce soit pour la communication par exemple ou pour faire de la prévente afin d’être en mesure de payer ou défrayer un tant soit peu les artistes. On m’envoi sur les roses… Alors, que je suis logé à la même enseigne moi-même en tant que musicien et que je doive multiplier les casquettes et les risques pour tenter de faire émerger ce projet, et au lieu de se faire soutenir dans une cause commune… chacun essai d’enfoncer l’autre pour avoir une plus grosse part mais sans pour autant avoir envie de s’investir. Et je ne compte plus les groupes que j’ai programmé contre des promesses de dates retours qui n’ont jamais eu lieu… donc avant de changer le monde, je pense qu’il y a un sérieux problème de mentalité et d’égocentrisme à revoir. En attendant, je tente de montrer l’exemple et j’essaie d’aider d’autres acteurs motivés autour de moi…




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> 10. Merci d'avoir pris le temps de répondre à toutes ces questions! Pour terminer auriez-vous un message à faire passer, d'éventuels remerciements, une dédicace, un coup de gueule à passer?



Lecks : Mesdames et Messieurs… aux plaisirs de vous rencontrer, lors de nos concerts et en attendant je vous souhaite à tous la bienvenue dans notre univers « LECKSIEN » !!! Ce n’est qu’une idée, mais il est temps de se sortir les doigts du cul avant la mort de la scène expérimentale et alternative

original INTERVIEW - pavillon 666 - webzine metal rock